Cinéma maison

C'est vrai, ils ont pour dire qu'il faut pas changer une recette gagnante, et quand il le font c'est soit adulé par holywood ou blasté a fond, même si le film est très bon, il y a des film dont le d'originalité plait moin au grand cinéastre ou au paparazzi holywoodien, et holywood c'est quand meme eux la publicité...

C'est un peu dommage, mais même si je ne suis pas un très grand fans de James Bonds, si jamais ils decident de changer la recette c'est voué a l'échec casi-total...

Mais à ce qu'on m'a dit, le dernier de Craig, Casino Royale, a une recette très différente... :/

Plus fidèle aux romans de Fleming que l'étaient les Brosnan.

Et Frank, je vois pas pourquoi tu mets les Star Wars dans la liste de films qui se sont essouflés. C'était planifié qu'il y en ait 6. Et c'est encore bien plus populaire que les James Bond, j'en suis persuadé.

Citation :

Le dernier des hommes - F. W. Murnau 4/5

Citation :

The Killing - Stanley Kubrick 4.25/5

Citation :

Pi - Darren Arronofsky 4.5/5

Je sais, j'ai hésité à l'insérer. :/

Mais au départ, James Bond était supposé être une trilogie au cinéma également.

Donc, même chose pour Star Wars, on aurait pu continuer avec des ''add-on'' encore et encore. Mais ce serait probablement détruire l'essence même du ''sixtuple''...

Pour ce qui est des Brosnan, ils risquent effectivement de n'être fidèles en rien aux romans. XD Par contre, certains de Connery et de Moore, à ce que j'ai lu, sont très représentatifs de la plume de Fleming.

Mais encore là, Moore et Connery sont trop "stérotypés" comme des héros sans peur. Il y a plus d'humanité chez Craig et cette facette rejoint bien les romans de Fleming.

Danny-boy est à mon avis, le plus réaliste de tous les Bond.

Daniel Boyer?

...

Frank : 1.2.3 Daniel Boyer.

Citation :

Dan in real life - Peter Hedges 4.25/5

Comédie de l'année. Incroyablement surpris.

Citation :

Enter the dragon - Peter Crouse 3.5/5

Citation :

Spider - ??? 2.25/5

Citation :

Dear Wendy - Thomas Vinterberg 4.25/5

Citation :

There will be blood - PTA 4.5/5

Film de l'année.

Black Sheep (la nuit des mouton)

3/5 mais je le roccomende pour labsurdité des montons qui tue du monde

Ouch, bonne chance maintenant que ça fait deux semaines que je les ai écoutés.

Citation :

The Spy Who Loved Me - Lewis Gilbert 3.75/5

Même si The Spy Who Loved Me est décevant (en ce sens où il marque probablement le plus grand début en terme de dissemblance dans le rapport de l'adaptation littéraire/cinématographique de l'oeuvre de Fleming), les adeptes n'ont pas nécessairement tort de le considérer comme l'un des meilleurs Bond à l'écran, dont, entre autre, le producteur Albert Broccoli lui-même.

En mon sens, Moore offre l'une de ses performances les plus solides, quoique Bond semble peu à peu perdre de plus en plus de son authenticité (laquelle, selon moi, parvenait tout de même à être entretenue par Connery et par le ''jeune'' Moore) pour se métamorphoser en un superhéros sans peur et sans crainte. Barbara Bach est, toujours à ce jour, l'une des Bondgirl les plus extraordinaires dans le rôle du Major russe Anya Amasova, allant même jusqu'à former avec Moore l'un des plus grands duos sur écran de toute la série cinématographique. Et le tout est évidemment arrosé d'une intrigue socio-politique qui finit immanquablement par intéresser le spectateur.

Comptons-y également l'arrivée de Richard Kiel dans le rôle de Jaws, dans celui qui allait devenir l'un des ennemis les plus populaires de toute la série.

Citation :

Moonraker - Lewis Gilbert 3.5/5

Moonraker est largement considéré par la majorité des adeptes de la série comme étant le pire James Bond ayant jamais été produit. C'est absolument faux.

Il faut tout de même le concevoir, Moonraker est absolument incroyablement différent des James Bond précédents, et il demeure, à ce jour en 2008, un James Bond unique. Moonraker est excellent, dans la mesure où l'on doit prendre en considération que, pour la première fois, on déroge du typique genre d'action/aventure/suspense pour y inclure une énorme touche de science-fiction. Les effets spéciaux se succèdent alors (pas toujours couronnés de succès) pour donner naissance à une aventure épique qui s'apparente même par moment au film de série B. Par exemple, certaines scènes ne sont pas sans rappeler une loufoquerie stellaire semblable à un film comme Starship Troopers. Ça me fait bizarre de trouver une comparaison entre James Bond et Paul Verhoeven, mais c'est la vie.

Donc, si certaines scènes sont pathétiques, voire risibles, je crois qu'il faut en rire et se laisser bercer par la qualité du scénario et de l'humour qui l'habite. Par contre, il faut avouer que certaines décisions prises par Lewis Gilbert en terme d'adaptation de dernière minute sont douteuses et largement clichés, entre autre le fameux dénouement de Jaws qui dénature le personnage d'une manière incroyablement ridicule. En terme de coup de coeur, Moonraker est l'un de mes James Bond favoris, même si je conçois que bien des gens ne l'affectionnent pas, et jamais je n'oublierai l'intérêt que je lui ai si vaillamment porté.

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For Your Eyes Only - John Glen 2.75/5

Ce n'est pas avec réjouissance que John Glen fait son entrée dans le monde de James Bond (sa première collaboration sur cinq) puisque For Your Eyes Only est à mon avis l'un des James Bond les plus exécrables de toute la série, sinon le plus mauvais d'entre tous. L'intrigue est tout simplement affreuse, et à aucun moment je ne suis parvenu à y adhérer tant il me semblait que les dialogues ne faisaient que brasser du vide et du déjà vu. Carole Bouquet, quoiqu'une excellente actrice que j'apprécie beaucoup habituellement, me fait presque dresser les poils sur la nuque tant elle m'irrite dans le rôle d'une Bondgirl. Les ennemis de Bond ne sont pas impressionnants outre mesure et Roger Moore donne cette fois-ci réellement le ton à un James Bond inhumain qui brave n'importe quel obstacle sans se soucier de rien, ton qui allait probablement influencer les plus mauvais Brosnan.

Pour être franc, il s'agit à ce jour du seul James Bond sur lequel je me suis endormi.

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Octopussy - John Glen 3.75/5

Pour un énième opus de la série James Bond, on aurait tort de considérer Octopussy comme l'un des plus mauvais, comme plusieurs le placent à égalité avec Moonraker. D'entrée de jeu, Maud Adams est tout simplement superbe dans la peau d'Octopussy et elle donne le ton à un scénario incroyablement relevé qui allie ingénuité et, par moment, originalité. Même si certains éléments sont un peu tirés par les cheveux, il est intéressant de voir, pour la première fois, une certaine dualité entre les ennemis eux-même. Louis Jourdan est d'ailleurs également surprenant dans le rôle de Kamal Khan.

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Be Kind Rewind - Michel Gondry 3.25/5

D'abord et avant tout, je tiens à stipuler qu'en aucun cas je ne regrette d'avoir visionné Be Kind Rewind. Ce que je regrette davantage, c'est d'y avoir fondé autant d'espoir et d'attentes. Car, pour un Michel Gondry, il faut avouer que le résultat est plutôt décevant.

Avouons-le, la réalisation est superbe, et certaines scènes sont vraiment magnifiques. D'autant plus que ce jeu de mise en abîme dans les coulisses du cinéma permet à Gondry de nous initier un tant soi peu à son génie créatif derrière et devant la caméra, notamment par l'intermédiaire de plusieurs techniques qui nous amènent à entrer temporairement dans la logique cinématographique de Gondry.

Par contre, là où le bat blesse, c'est que le scénario aurait pu être mieux travaillé de millions de manières différentes. Par moments, les longueurs se succèdent, et certaines scènes ne méritent tout simplement pas leur place dans ce film. Il aurait probablement été plus intéressant de s'adonner à des remakes d'un plus grand nombre de film et de manière plus appliquée que ne l'a fait Gondry. Outre Ghostbuster et Rush Hour 2 (même encore là), aucun film n'est parodié avec intensité ou plus longtemps qu'une scène ou deux et on se perd rapidement dans un hommage plus ou moins réussi à la musique Jazz et à Fats Waller.

Il est alors difficile de trouver un public cible à un tel film puisque ceux qui s'attendent à ce que Gondry nous confronte à maintes parodies appliqués sont déçus par le peu de temps qui y est passé et que l'histoire n'est, à mon avis, pas assez forte et intéressante pour maintenir un véritable intérêt chez le spectateur. Jack Black est néanmoins surprenant dans quelques scènes du film et Danny Glover est encore une fois fidèle à ses habitudes.

Une autre réalisation réussie pour Gondry, mais l'un des pires scénarios de sa plume. En terme d'hommage au cinéma, on aurait pu pousser plus loin dans les souvenirs, dans le rapport entre le spectateur et le film ainsi que dans la guerre qui sévit entre le VHS et le DVD. Tous des sujets qui ont été abordés d'une manière assez simpliste, mais qui, mieux travaillés, auraient pu faire de Be Kind Rewind un véritable hommage vivant à l'industrie du cinéma et aux milliards d'adeptes qui s'y laissent mystifier.

Sweedney Tood

Aah Johnny Depp c`est mon idol!

Je me suis régalé hier matin , en mangeant mes toats au beurre de peanote, jme suis tapper le film Sweedney Tood! Assez surprenant comme film; premièrement je ne m`attendais pas à une "comédie musical", un succès c`est claire puisque Depp à un certain talent de chanteur... Encore une fois il a très bien interprèté le personnage... à sa façon bien sur!

Bien sur il est très bien soutenue par l`actrice (son nom m`échappe) qui interprète la vendeuse de tourtes. Une superbe interprètation, elle et Jonhy Depp se complète bien

Côté sénario c`est une histoire pas trop compliqué à comprendre, c`est quelque fois macabre , mais pas à en vomir...

Ce qui ma vraiment plus dans se film se sont les images: ont est transporté dans un univers assez spéciale, et même si le film est sombre on peu apprécier "l`environement" du film si on veux...

La fin était presque prévisible...

Super film ,un beau: 9/10

Oh my my. TABARNAK.

J'pense pas que ça mérite un sacre.

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A View To a Kill - John Glen 3.75/5

Dans la dernière prestation de Moore dans la peau du désormais réputé double 07, c'est décidemment la qualité de l'intrigue qui permet d'accrocher fortement le spectateur à un complot géo-politique. Pour une des premières fois, on s'aventure dans le terrain du domaine écologique et de l'influence qu'il peut jouer sur les magnats du crime. En l'occurence, Max Zorin, interprété à son tour par l'un des acteurs les plus talentueux ayant jamais participé à un film de James Bond, soit Christopher Walken qui est méconnaissable dans le rôle de ce jeune russe psychopathe. Pour être franc, il est difficile de le reconnaître car il se surpasse littéralement dans A View To a Kill et que son jeu contribue à lui seul à rehausser la cote de cette aventure.

Lorsque Roger Moore déclare qu'il s'agit là du James Bond qu'il affectionne le moins en raison de la profusion de la violence, je suis absolument en désaccord avec lui si on repense à un film comme For Your Eyes Only.

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The Living Daylights - John Glen 2.5/5

Lorsque Roger Moore atteste que A View To a Kill est définitivement le pire des James Bond puisqu'il est trop violent, c'est que l'on encore en 1985. Car, s'il aurait attendu deux années supplémentaires avant de se prononcer, en 1987, il aurait eu la (mal)chance d'assister à The Living Daylights, le tout premier Timothy Dalton.

Définitivement, on est plongé jusqu'au cou dans une surdose d'action brut et on n'a d'autre choix que de supporter et d'endurer une recrudescence douloureuse de la violence inutile dans l'univers de James Bond. Plus que jamais, les poursuites sont irréalistes et interminables, la violence décuplée risiblement et les failles de l'agent secret, inexistantes.

Sans être un piètre acteur, Timothy Dalton apporte déjà quelque chose de négatif à l'image de James Bond, en ce sens où l'authenticité du personnage, qui en avait déjà mangé un coup avec les dernières prestations de Moore, est à présent réduite au néant. En mon sens, il n'y a alors plus beaucoup de plaisir à tenter de se laisser impressionner par la prestance des nombreux cascadeurs plutôt que de la brillante logique de James Bond et du jeu d'acteur de Dalton.

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The Happening - M. Night Shyamalan 3.25/5

M. Night Shyamalan sait établir une ambiance. Ça, on le sait.

On savait aussi qu'il était un fieffé réalisateur, que ses précédents travaux comme Signs, The Sixth Sense et The Village avaient bien été appréciés par les adeptes du genre, mis à part Lady in the Water qui s'était aventuré dans des eaux trop profondes pour la majorité des amateurs du genre.

Avec The Happening, moi, je ne sais plus.

Si l'ambiance est encore extraordinaire, il faut avouer que The Happening est passé à peu de chose de près d'être un grand film, même probablement l'un des deux meilleurs de Shyamalan. Et pourtant, les bourdes commises ont été si énormes et si ridicules qu'il s'agit probablement là de son pire, à mon avis.

Même si j'ai bien apprécié mon écoute et que l'écolo en moi s'est laissé bercer par le concept paranoïaque de l'intrigue, je me demande encore comment est-ce que Shyamalan a pu assister à l'avant-première de son film et ne pas réagir en conséquence pour enrayer de simples pathétiques erreurs.

Le plus grave étant, en tout premier lieu, les risibles échanges et la lacune des dialogues entre les personnages principaux. À tout moment, des scènes formidables ont été sabotées par le manque de contenu et d'intégrité des dialogues, et par le trop peu de chose que ces répliques parvenaient à apporter au film.

En second lieu, je ne sais encore me décider à savoir si Wahlberg vient tout juste de livrer l'une des meilleures performances de sa carrière ou si, au contraire, ce n'est pas justement la pire.

Par la suite, dans certaines scènes, des effets débutants comme des slow motions mélodramatiques et des non-sens dans les réactions des personnages me rappellent fortement des airs de cinéma amateur et d'incohérence mineures qui minent fortement l'appréciation du film.

Sérieusement, même si j'ai apprécié mon écoute, je n'ai jamais autant ri dans une salle de cinéma, et j'estime que ce rire est le gage de l'échec de Shyamalan.

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Licence to Kill - John Glen 3.75/5

Assurément un grand contraste avec la première prestation de Dalton dans la peau de l'agent 007 qui, jusqu'alors, se classait bon dernier dans le palmarès des acteurs qui ont eu la chance d'interpréter ce fameux James. Et pourtant, c'est bien tout le contraire dans Licence to Kill, et il est à présent évident que le scénario de The Living Daylights avait été écrit en conséquence du jeu de Roger Moore, et non de celui de Timothy Dalton. Dans un univers plus sombre et plus sérieux, Timtohy Dalton fait des miracles, tant que je qualifierai ce film comme étant l'un des James Bond étant le mieux interprété par un acteur. Malheureusement, l'ironie du sort fait en sorte que c'est également par le fait même le dernier opus de Timothy Dalton et que, par le fait même, on a peu de données pour le situer entre le très ordinaire Timothy de The Living Daylights et le magistral Dalton de Licence to Kill.

Sur une intrigue plus sombre mais ô combien relevée, Robert Davi interprètre Franz Sanchez et se veut ma véritable première découverte d'un acteur exceptionnel dans le rôle d'un personnage secondaire dans un film de James Bond. Robert Davi est absolument exceptionnel et la rivalité qu'il entretient avec Timothy Dalton est tout simplement superbe à l'écran, notamment quelques scènes qui se classent dans mes préférées de toute la série. Sur un autre plan, le duel Lowell/Soto au niveau des Bondgirl est également assez impressionnant, à un point tel que Licence to Kill est actuellement ma fin préférée lors d'un James Bond.

Citation :

GoldenEye - Martin Campbell 4/5

Subjectivité.

C'est ce qu'on appelle de la subjectivité.

Pour être franc, je ne sais pas complètement si GoldenEye mérite véritablement une si haute note. Je maintiens qu'il s'agit là d'un excellent James Bond, mais que mon opinion puisse être biaisée par le fait que le jeu de N64 GoldenEye m'a, en quelque sorte, élevé et que j'ai passé une majeure partie de mon enfance et de ma pré-adolescence avec lui. Alors, difficile de ne pas tomber en amour avec les personnages colorés et les scènes d'action favorites de ma jeunesse!

Pourtant, Pierce Brosnan m'apparaît magistral dans la grande majorité des scènes du film (1-2 m'ont fait grincé des dents, mais je les ai oublié rapidement), et les autres acteurs sont tout simplement sublimes. Alec Trevelyan, Natalya Fyodorovna Simonova, Xenia Zirgavna Onatopp, Valentin Dmitrovich Zukovsky et Boris Grishenko sont tous des personnages vraiment incroyables, ce qui fait en sorte que GoldenEye est assurément le film de James Bond qui recèle le plus de personnages touchants, amusants et intriguants. Tout ça sans d'ailleurs parler de l'arrivée de la grande Judi Dench dans le rôle de M.

Et, évidemment, si la finale de Licence to Kill m'avait impressionné, c'est cette fois-ci l'introduction de GoldenEye qui brise des records. Franchement, on bifurque littéralement pour se retrouver dans un montage exceptionnel, constamment constitué de plans remarquables et de mouvements de caméra qui n'en finissent plus de me surprendre. Cette entrée en matière si originale pour la dite série allait alors signer l'un des plus grands James Bond de toute l'histoire, en plus du James Bond le mieux réalisé jusqu'à présent, ayant été signé Martin Campbell.

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Tomorrow Never Dies - Roger Spottiswoode 3.5/5

Tomorrow Never Dies possède son lot de bons et de mauvais côtés, ce qui fait en sorte qu'il devient l'un des films typiques de toute la série, se classant probablement exactement dans le milieu de peloton du marathon de l'appréciation. Si l'on tente d'innover au niveau de la Bondgirl principale, en l'occurence Michelle Yeoh dans le rôle de Wai Lin, en lui assurant un rôle beaucoup plus important qu'aux précédentes femmes en matière de prise de charge des opérations, il faut dire que l'idée n'est pas toujours bien exploitée au maximum, quoi qu'on se plaise à voir Bond faire équipe avec une femme sans la considérer nécessairement comme un simple objet.

Jonathan Pryce et Teri Hatcher font également un travail sublime dans les peaux de Elliot et Paris Carver, de quoi nous fournir un carré d'as impressionnant pour la distribution du film. Pourtant, même si l'intrigue est actuellement basée pour la toute première fois sur la manipulation internationale des médias, les scènes d'action sont majoritairement trop longues et trop peu intéressantes pour trouver preneur.

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Les douze travaux d'Astérix - Goscinny/Gruel/Uderzo/Watrin 3.75/5

Seen 8 times.

Assurément l'un des films cultes de ma jeunesse. Mon Dieu que je ne me lasserai jamais de ce film là.

Jules César: Les Gaulois devront nous prouver qu'ils sont des Dieux! [...] Brutus, veux-tu, arrête de jouer avec ce couteau!

XD

Citation :

The World Is Not Enough - Michael Apted 3.5/5

Pas si pire que ce à quoi je m'attendais en tout premier lieu. Même si, à mon avis, Sophie Marceau ne livre pas toute la marchandise, Brosnan présente certaines failles dans quelques scènes et Carlyle est très décevant dans le rôle de Renard, il faut avouer que le scénario est bien intéressant et que toute cette trame de corruption se veut franchement imaginative. Dans The World Is Not Enough, ce sont véritablement les acteurs et les personnages qui font défaut, sinon on aurait été en droit de s'attendre à un bien meilleur rendu d'un tel scénario.

Je lève ma télécommande à Desmond Llewelyn!

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Dog Day Afternoon - Sidney Lumet 3.75/5

20h55: Mate m'appelle pour me dire qu'il a loué Dog Day Afternoon. Dix minutes plus tard, je file sur IMDB me renseigner sur le film.

The robbery should have taken 10 minutes. 8 hours later, it was the hottest thing on live T.V. And it's all true.

5 secondes après, je meurs d'envie d'écouter le film.

5 heures plus tard, je le considère comme un grand classique du cinéma, une fois de plus signé Sidney Lumet.

Il n'y a pas à dire, il y a de ces réalisateurs qui sont des valeurs sures, du genre de ceux que vous savez dont vous risquez de ne jamais être complètement déçu. Lumet est l'un d'eux.

L'intrigue et les dialogues de Dog Day Afternoon sont tous deux brillamment écrits par Frank Pierson, d'autant plus que le duo Pacino/Cazale est absolument sublime dans la peau de Sonny & Sal. L'ambiance de ce hold-up relatée à travers l'écran est digne de couper le souffle à n'importe quel spectateur et il n'en faut pas beaucoup pour devenir accroc aux mésaventures de nos deux jeunes braqueurs. À mon avis, la seule ombre au tableau constitue

Spoiler:

Toutefois, comme c'est une histoire vraie, je suppose que c'était impossible de le modifier, mais c'aurait pu être travaillé à l'écran d'une manière plus réaliste et plus poignante. Néanmoins, Dog Day Afternoon demeure l'un des films les plus importants de sa décennie.

Citation :

The Graduate - Mike Nichols 4.75-5/5

Dustin Hoffman, Anne Bancroft, Charles Webb, Katharine Ross, Mrs. Robinson, Calder Willingham, Benjamin Braddock, Elaine Robinson, Buck Henry, Mike Nichols...

Tant de noms dont je ne peux ressortir indemne. Tant de génie couché sur pellicule, tant d'impossibles serrements de gorges qui consument mon angoisse et chahutent mon destin. The Graduate est un film impitoyable, en ce sens où il chamboule les moeurs et déforme des conventions intemporelles qui ne se limitent pas qu'aux années 60. Affranchissement de soi, atomisation des normes et aliénation des principes, tout est malaxé dans une plume d'argent où le silence parle lui-même de sa légère lourdeur. Ici et là, Simon & Garfunkel parsèment leur voix et dispersent des convulsions émotionnelles aux quatre coins de l'âme humaine, prêts à effriter le mur rigide qui sépare habituellement le spectateur de son téléviseur. Dans la peau de Benjamin Braddock, Dustin Hoffman est une arme redoutable, un baiser atomique qui nous sert une leçon nucléaire sur l'angoisse existentielle qui caractérise l'individu-foetus que nous sommes tous, du premier souffle au dernier battement.

La guerre est déclenchée, et ce sont Simon & Garfunkel qui s'improvisent les clairons de cette croisade. Car Benjamin Braddock n'est pas un personnage de fiction. Ce Benjamin, c'est vous, c'est moi, c'est cet être prisonnier d'une société et de ses prémisses de convenance, c'est celui qui croit s'être trouvé mais s'est perdu davantage, c'est le reflet de cette quête éternelle qui, au bout du compte, ne peut peut-être se solder que par un regard craintif au fin fond d'un autobus exilé.

The Graduate est plus qu'une histoire: c'est une émotion.

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