Cinéma maison - La suite!

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Die Another Day - Lee Tamahori 2.75/5

Avec Die Another Day, j'ai appris...

Hollywood. Toutes ces conneries héroïques qui vous minent un film à retardement, tout cette humanité qui déserte l'homme et qui font de lui un robot infaillible, un aimant à femmes qui esquive les pièges les plus perspicaces et les détentes les plus rapides. Toutes ces scènes d'action potables qui sont rapidement ridiculisées par le peu de réalisme qu'elles contiennent, tout l'extrême de la chose qui veuille que spectaculaire rime obligatoirement avec inhumanité. Sous un ramassis de cochonneries et d'effets spéciaux se dissimule un scénario potable, rapidement gâché par des palais de glace informatisés et des automobiles invisibles.

Avec Die Another Day, j'ai appris...

La redondance. Qu'il parait bien de vouloir faire hommage au 40e anniversaire de James Bond en ressassant maints souvenirs brisés, mais qu'au bout du compte, tout se transforme rapidement en un amoncellement de clichés nostalgiques qui nous font regretter les James Bond du bon vieux temps. L'originalité se dégrade peu à peu, et chaque scène se veut un post-it du bon vieux temps fortement défraîchi, un remake manqué qui nous fait pleurer le brio de Ian Fleming.

Avec Die Another Day, j'ai appris...

Que même l'image des plus grands personnages est facilement souillable.

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Casino Royale - Martin Campbell 4/5

Casino Royale est un film intelligent qui, lors de maintes scènes, se passe d'explosions pour exprimer son propos. Largement fidèle au roman du même nom de Ian Fleming, James Bond fait un retour sur le sentier de la conformité et, enfin, les scripteurs se plient à la loquacité ingénieuse de Fleming pour pondre un scénario digne de son nom. Surprenament, Daniel Craig se démarque de la majorité des autres James Bond en ce sens où il est l'un des seuls dont le talent d'acteur soit rudement mis à l'épreuve par plusieurs scènes où il frise l'échec et le percute même de plein fouet à certains moments, ce que peu de James Bond ont eu l'occasion de faire depuis le tout début de la série.

Ce qui me grise un peu toutefois, c'est ce fameux phénomène typique du cinéma d'aujourd'hui, soit celui de ne jamais vouloir clore la boucle d'un ''blockbuster'', de toujours laisser une porte entrouverte pour prévoir une suite. Au lieu de faire de Casino Royale un épisode de la vie de Bond, on en a fait une prémisse à Quantum of Solace, misant sur cet effet de ''suite'' pour maximiser les revenus au box-office de ce prochain volet qui sera bientôt sur nos écrans.

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Iron Man - Jon Favreau 3.25/5

Tony Stark, ce n'est pas grand chose au bout du compte. L'homme derrière lui, par contre, c'est autre chose. Même si on a déjà vu Robert Downey Jr. dans de bien meilleures prestations (Zodiac, Kiss Kiss Bang Bang), il est probablement l'élément le plus agréable du film, en ce sens où il se démarque tout de même assez bien du scénario infiniment banal par un jeu d'acteur assez coloré, quoique tout de même quelque peu déplaisant dans certaines scènes du film.

Par moments, même en étant un adepte des films de superhéros du genre, il faut avouer que l'ennui me guettait et qu'il ne m'en aurait pas fallu beaucoup pour laisser toute forme d'intérêt se dissiper en-dedans de moi. L'entrée en matière du film est très intéressante, mais tout ce qui se situe entre l'introduction et la conclusion, toute cette partie consistante qu'on appelle habituellement le ''milieu'' ou le ''pilier'' du film est abominablement longue et truffée d'effets spéciaux qui tentent tant bien que mal de camoufler la pauvreté des dialogues et de l'intrigue. Les ennemis sont prévisibles bien à l'avance, les petits dénouements n'en sont plus et les personnages sont franchement bien typiques. Même l'affrontement final, moment bien attendu dans ce genre de film, n'est pas parvenu à me satisfaire pleinement.

Par contre, avouons tout de même que ce genre de film demeure quand même bien agréable si l'on est un fan de Marvel, et que seule la finale du film aura eu le mérite d'éveiller en moi un léger frisson qui n'aura perduré que quelques millièmes de secondes. En ce sens, peut-être même l'une des meilleures finales de films de superhéros du genre.

Tony Stark: The truth is... [...] I am Iron Man.

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Saboteur - Alfred Hitchcock 3.75/5

Voilà bientôt plusieurs mois que je n'avais pas trempé le petit doigt d'orteil dans l'univers d'Alfred Hitchcock, et il faut avouer que c'est avec délectation que je me suis replongé dans Saboteur, un grand film d'Hitchcock qui allie patriotisme et anarchisme dans une seule et même intrigue. C'est exactement dans ce genre de scénarios que l'on peut se laisser impressionner par des stratagèmes superbes qui mettent à profit toute l'intelligence policière du personnage. Les dialogues sont bien travaillés, et certaines scènes sont même bien touchantes, notamment en terme de rapprochement entre les divers personnages.

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4 luni, 3 saptamâni si 2 zile - Cristian Mungiu 4.25/5

Grand gagnant de la Palme d'Or de Cannes 2007, le film de Mungiu en est un qui laisse les évènements parler d'eux-même et qui n'encombre pas de dialogues superflus la fluidité du développement du film. L'histoire débute simplement dans la routine du régime communiste roumain en 1987, soit deux ans avant la fameuse chute symbolique de l'URSS par l'entremise de la démolition du mur de Berlin. Avec deux actrices superbes dans les rôles d'Ottila et de Gabriela et un Vlad Ivanov en grande forme dans les pieds de Monsieur Bebe, tous les éléments sont en place pour faire de 4 luni, 3 saptamâni si 2 zile un incontournable du cinéma européen.

Mungiu pousse l'audace plus loin encore dans certaines scènes, comme celle où l'on assiste à un souper de famille pendant une bonne dizaine de minutes avec un plan fixe, témoins de conversations banales et anodines tandis que le personnage principal, entouré de connaissances et suffocant presque de manque d'intimité, a pourtant un regard vitreux qui la distancie des autres personnages. Dans une telle oeuvre, il faut dire que drame et suspense se mêlent fortement pour donner naissance à un poupon romain mort né, qui ne laisse guère entrevoir des beaux jours pour la Roumanie et ses habitants.

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Letters from Iwo Jima - Clint Eastwood 4/5

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Roman Holiday - William Wyler 4/5

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Stalker - Andrei Tarkovsky 4.25-4.5/5

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All About Eve - Joseph Mankiewicz 3.75/5

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The Straight Story - David Lynch 4.5/5

HEY se matin j`ai allumé le téléviseur et vous savez pas sur quoi chui tomber : Danser sous la pluie!!! ouais franchement j`ai adoré ce film!!!

pas trop constructifif comme commentaire mais chui paresseuse en se moment

Ouais, c'est vraiment chaleureux comme film.

J'espère que le .5 d'enlevé équivaut à la demi-heure de chevaliers et de château. Wtf.

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Borderline - Lyne Charlebois 3.5-3.75/5

Pas du tout. Je suis tombé en amour avec ce passage-là, c'est vraiment extraordinaire, je trouve. Fiction et réalité s'entremêlent définitivement...

Définitivement, je te déteste.

C'est faux, tu m'aimes.

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In Bruges - Martin McDonagh 4/5

Amateurs de Hot Fuzz, régalez-vous, car c'est le retour d'une comédie satirique typique du genre auquel nous avait habitué Edgar Wright, Simon Pegg et Nick Frost. Excepté que, cette fois-ci, ce sont Martin McDonagh, Colin Farrell, Ralph Fiennes et Brendan Gleeson qui tiennent les rennes de ce brillant film saturé d'humour noir. Plus que jamais, je me retrouve surpris par la qualité du scénario de McDonagh, un nouveau venu dans le métier, et à maintes reprises l'incongruité des dialogues en est venu à me faire tordre de rire. Extrêmement bien réalisé, le film allie plusieurs genres et passe aisément de la comédie au film d'action, du film noir au thriller et de l'aventure romantique au drame psychologique. Difficile d'être déçu par un tel alliage, d'autant plus que les gags sont abominablement cruels et mordants d'ironie. Définitivement mon genre de film. Une vraie surprise.

In the movie ''In Bruges'', the word 'fuck' and its derivatives are said 126 times in this 107-minute film, an average of 1.18 'fucks' per minute.

Fuck c'est vraiment beacoup.

Moi jai fucking adorer shawn of the dead d'ailleur mon fucking frère la acheter et je l'ai écouter aujord'hui .Mais jai eu un fuck avec mon frère et il n'a pas voulu me passer hot fuzz

Bah, dans ce cas, j'te conseille vraiment ''In Bruges''... C'est vraiment similaire comme film. C'est sûr que c'est pas totalement pareil, mais ça a vraiment beaucoup de ressemblance, et il faut que t'aime l'humour brittish.

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WALL-E - Andrew Stanton 4.75/5

Ce n'est plus un secret: Pixar sont définitivement les rois dans le domaine de l'animation. Après nous avoir offert coup sur coup The Incredibles, Cars et Ratatouille, Pixar remonte sur la scène en compagnie d'Andrew Stanton, celui qui nous avait jadis offert Finding Nemo, dans le but de s'aventurer pour la toute première fois dans un dessin-animé futuriste qui s'inscrit en quelque sorte dans la lignée du genre ''No Future'' dont le règne débute actuellement dans nos cinémas: WALL-E.

WALL-E, en plus d'être le plus charmant de tous les protagonistes de Pixar, est un film d'animation incroyablement ingénieux qui repousse les limites du bon goût. La première heure, entre autre, est vide de dialogues mais riche de contenu, si riche qu'elle parvient à faire fondre le coeur de n'importe quel spectateur et à s'improviser la fontaine de jouvence du cinéma. Avec WALL-E, tout le monde redevient enfant et se laisse bercer par le mielleux scénario qui combine parfaitement humour, charme, originalité et suspense.

Rires et larmes s'entremêlent assurément dans cette critique imagée de la société de demain, et amène forcemment le spectateur à y réfléchir longuement. En aucun cas le scénario ne m'est apparu prévisible, et bien au contraire, il s'agit d'un film d'animation étonnamment infiniment intelligent, surprenant toujours le spectateur avec une problématique-choc ou un revirement de situation majeur qui nous amène à reconsidérer la nature de notre mode de vie.

Dessin-animé oblige, cette critique est même étonnamment agréable lorsqu'elle est énoncée sur un ton aussi léger, sur une musique lancinante d'amour, de rires et d'eau fraîche. WALL-E a su me convaincre à nouveau que le cinéma possède une importance capitale: tout en divertissant, il informe, convainc et est peut-être même en mesure de faire bouger les choses d'une manière plus draconienne que l'on ne le croit. Si le cinéma est parfois un outil de propagande négative, il ne faut pas oublier que l'inverse est tout aussi vrai, et que le cinéma pourrait s'avérer un acteur important des phénomènes et des impacts sociaux qui prendront place lors des prochaines années. WALL-E est l'un de ces acteurs.

Si vous avez ne serait-ce qu'un infime intérêt pour les films d'animation, ne ratez surtout pas votre chance d'aller voir WALL-E au cinéma; vous le regretteriez. Ce pourrait être l'une des soirées les plus magiques de votre année. En tout cas, pour moi, ce fut le cas.

WALL-E est assurément le meilleur film d'animation ayant jamais vu le jour.

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Vantage Point - Pete Travis 3/5

Bien qu'on ait tenté de miser sur l'originalité du concept pour l'emporter, je doute que cette formule gagnante suffise pour faire de Vantage Point un film tout aussi gagnant. Naturellement, aujourd'hui, c'est exactement le genre de film que tout le monde apprécie, celui qui contient des explosions, de l'action à revendre, un suspense travaillé et une bonne dose de saveur patriotique. C'est une formule gagnante, et si on la mixte au concept du retour dans le temps afin de suivre le point de vue de plusieurs protagonistes du drame, il va sans dire que le succès est presque assuré.

Par contre, comme un concept ne fait pas un film, Vantage Point obtient tout juste la note de passage car il me semble que tout ce qui semble solide s'effrite rapidement. C'est tout du déjà vu, et le complot beaucoup trop poussé finit justement par me repousser en tant que spectateur. Les pistes intéressantes du film se perdent rapidement dans le spectaculaire des courses automobiles, alors qu'on aurait pu laisser le soin aux différents personnages tout de même intéressants de peaufiner davantage de dialogues. L'intrigue du complot est vraiment poussée très fort, et on entre rapidement dans un sensationnalisme qui ne laisse aucunement place à l'authenticité.

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Bad Guy - Ki-Duk Kim 3.75/5

C'est tout de même dommage.

Parce que la première heure était perverse à souhait, qu'elle était lourde de sous-entendus intelligents et d'ambiguïtés jouissives. Les deux acteurs principaux savaient donner vie à l'oeuvre et Bad Guy se positionnait déjà comme l'un des grands scénarios écrits par Ki-Duk Kim, quand bien même il s'agissait peut-être là d'une de ses réalisations les moins travaillées en matière d'esthétisme, malgré quelques plans de caméra qui en valaient tout de même la peine.

Ce qui est dommage, c'est que toute cette abomination du scénario coulait si bien, tout le développement en était si fluide, que la dernière demie-heure a corsée les choses par un amalgame de péripéties étranges et plus ou moins compréhensibles qui, somme toute, auront fini par me perdre. Des personnages louches font irruption et font dévier bizarrement le scénario vers une finale inattendue qui ne rend pas du tout honneur au reste du film.

Tout de même un bon film de Ki-Duk Kim, bien que la fin aurait pu être travaillée d'une différente manière.

C'est tout de même dommage. Non?

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L'âge des ténèbres - Denys Arcand 4.5/5

Denys Arcand frappe fort avec L'âge des ténèbres, son film le plus complet depuis Jésus de Montréal, bien qu'il ait été démoli par la majorité des critiques montréalaises et de la foule qui l'accompagnait. Ce qui est extraordinaire, c'est que L'âge des ténèbres parvient à instaurer un climat de comico-tragédie comme rarement vu auparavant. D'un côté, Jean-Marc Leblanc et son existence si banale, si insipide, si... commune. Le portrait typique d'une partie de chacun d'entre nous, de notre manque d'ambition et de notre étonnante capacité à nous complaindre dans une situation qu'on aurait la force de changer, n'eût été de ce pitoyable manque de volonté qui nous accable. Le scénario est en maints points semblable à Continental, mais infiniment plus travaillé, plus complet et plus riche, non seulement en terme de réalisation artistique mais également en ce qui a trait au scénario et aux dialogues.

De l'autre, Marc Labrèche, figure par excellence de la loufoquerie québécoise qui sait s'enflammer de satire et d'ironie dans plusieurs moments loufoques qui apportent au film un énorme je-ne-sais-quoi qui le distancie de la majorité de tous les autres films de notre petite patrie. Rêve et fiction s'entremêlent alors définitivement, et le spectateur se retrouve prisonnier de ce non-sens, incapable de dissocier les fantasmes du personnage de la réalité qui l'entourent. Quels sont alors les outils pour espérer se sortir d'une vie d'engagement, de responsabilités, de devoirs, de contrats et, plus qu'autre chose, de malheur? Quelles sont alors les possibilités pour atteindre le bonheur, et quel en est donc le prix à payer si la société estime qu'il est alors trop tard pour y parvenir?

Jean-Marc Leblanc s'aventure dans les sentiers de la vie et tente tant bien que mal de se tirer de ce bourbier dans lequel des milliards d'entre nous se sont empourprés.

Est-ce que c'est moi qui rêve ou on entre réellement dans une ère cinématographique de ''No Future''? On en parlait il n'y a pas si longtemps, mais on dirait que c'est vraiment le temps pour les films qui traitent de la fin du monde causée par la dégradation de l'écologie ou la cupidité insipide de l'être humain.

Continental, L'âge des ténèbres, The Happening, Les Simpsons, Dans une galaxie près de chez vous 2, WALL-E, Sunshine, The Mist...

Peut-être que j'hallucine, mais...

Ouais ta bien raison la dessus mon frank

TOP JAMES BOND

FILMS

Goldfinger 4.25/5
Dr. No 4.25/5
Casino Royale 4/5
GoldenEye 4/5
You only live 4/5
Live and let 3.75/5
Licence to kill 3.75/5
A View to Kill 3.75/5
Moonraker 3.75/5
Octopussy 3.75/5
Spy who loved 3.75/5
Thunderball 3.5/5
Tomorrow Never 3.5/5
Man with Golden 3.5/5
From Russia 3.5/5
The World Is 3.5/5
On Her Majesty 3.5/5
Diamonds are 3.5/5
Die Another Day 2.75/5
For your eyes 2.75/5
The Living Day 2.5/5

ACTEURS

Sean Connery
Daniel Craig
Timothy Dalton
Pierce Brosnan
Roger Moore
Georges Lazenby

BOND GIRLS

Ursula Andress - Honey Ryder
Izabella Scorupco - Natalya Fyodorovna Simonova
Eva Green - Vesper Lynd
Honor Blackman - Pussy Galore
Diana Rigg - Tracy Di Vicenzo
Famke Janssen - Xenia Zirgavna Onatopp
Denise Richards - Christmas Jones
Barbara Bach - Major Anya Amasova
Grace Jones - May Day
Teri Hatcher - Paris Carver
Carey Lowell - Pam Bouvier
Maud Adams - Octopussy
Jane Seymour - Solitaire
Halle Berry - Jinx
Michelle Yeoh - Wai Lin
Talisa Soto - Lupe Lamora
Britt Ekland - Mary Goodnight
Claudine Auger - Domino
Lois Maxwell - Moneypenny
Lois Chiles - Dr. Holly Goodhead
Martine Beswick - Paula Caplan
Eunice Gayson - Sylvia Trench
Daniela Bianchi - Tatiana Romanova
Gloria Hendry - Rosie Carver
Sophie Marceau - Elektra King
Rosamund Pike - Miranda Frost
Kristina Wayborn - Magda
Maud Adams - Andrea Anders
Jill St. John - Tiffany Case
Tanya Roberts - Stacey Sutton
Maryam d'Abo - Kara Milovy
Akiko Wakabayashi - Aki
Carole Bouquet - Melina Havelock

ENNEMIS

Harold Sakata - Oddjob
Alan Cumming - Boris Grishenko
Christopher Lee - Francisco Scaramanga
Christopher Walken - Max Zorin
Jonathan Pryce - Elliot Carver
Richard Kiel - Jaws
Mads Mikkelsen - Le Chiffre
Robert Davi - Franz Sanchez
Putter Smith et Bruce Glover - Mr. Kidd et Mr. Wint
Robbie Coltrane - Valentin Dmitrovich Zukovsky
Gert Fröbe - Auric Goldfinger
Hervé Villechaize - Nick Nack
Gottfried John - General Arkady Grigorovich Ourumov
Donald Pleasence - Ernst Stavro Blofeld
Robert Shaw - Donovan 'Red' Grant
Geoffrey Holder - Baron Samedi
Sean Bean - Alec Trevelyan
Kabir Bedi - Gobinda
Yaphet Kotto - Kananga / Mr. Big
Charles Gray - Ernst Stavro Blofeld
Joseph Wiseman - Dr. No
Louis Jourdan - Kamal Khan
Robert Carlyle - Renard
Götz Otto - Stamper
Toby Stephens - Gustav Graves
Telly Savalas - Ernst Stavro Blofeld
Michael Lonsdale - Hugo Drax
Jeroen Krabbé - General Georgi Koskov
Topol - Milos Columbo


RÉALISATEURS

Martin Campbell
Guy Hamilton
Terence Young
Lewis Gilbert
Peter R. Hunt
Roger Spottiswood
Michael Apted
John Glen
Lee Tamahori

Et ça, c'est un top spécialement pour toi, Mate...

CHANSONS

Thunderball - Tom Jones 4.25/5
Nobody does it better - Carly Simon 4/5
Live and Let Die - Paul/Linda McCartney 3.75/5
A View To a Kill - Duran Duran 3.75/5
From Russia with love - Matt Munro 3.75/5
Die Another Day - Madonna 3.75
The World Is Not Enough - Garbage 3.75/5
Tomorrow Never Dies - Sheryl Crow 3,5/5
GoldenEye - Tina Turner 3.5/5
Kingston Calypso - Johny Barry 3.5/5
You Know My Name - Chris Cornell 3.5/5
Diamonds are Forever - Shirley Bassey 3.5/5
You only live twice - Nancy Sinatra 3.5/5
Goldfinger - Shirley Bassey 3.5/5
The Living Daylights - A-ha 3.5/5
We Have All The Time - Louis Armstrong 3.5/5
The Man with the Golden Gun - Lulu 3.25/5
For Your Eyes Only - Easton Sheena 3.25/5
Licence to Kill - Gladys Night 3/5
All Time High - Rita Coolidge 2.75/5
Moonraker - Shirley Bassey 2/5



J'AI FINIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!!!

MUAHAHAHAHHAHAHAAHAHHAHAHAHAHAHAHA !!!

BLEUBLEUBLEUBLEUBLEU!

CRISS que té intence FRANK!!!

Citation :

Beetle Juice - Tim Burton 3.5/5

Un classique. Vive Michael Keaton.

Après trouvé Charlie, Trouvé la vie de Frank merde.

Je pense que sa vie est cacher derriere les vies des personne qui jousent a WOW

Citation :

What's Eating Gilbert Grape - Lasse Hallström 3.5/5

Un film bien léger qui, tout de même, nous rappelle quelques bons côtés des petites simplicités de la vie en général. Il est également très agréable de voir Johnny Depp, John C. Reilly et Leonardo Dicaprio dans des rôles très différents de ceux qu'ils ont l'habitude d'accepter. D'ailleurs, Dicaprio est sublime dans le rôle d'Arnie, un adolescent handicapé, et c'est probablement à ce jour le meilleur rôle qu'il ait jamais eu la chance d'interpréter. Un beau récit sur l'affection d'une famille troublée.

Citation :

El Orfanato - Juan Antonio Bayona 3.75/5

L'ambiguïté qui règne à la toute fin du film est superbe, en ce sens où elle amène le spectateur à reconsidérer son expérience cinématographique en entier. D'un côté comme de l'autre, le film peut être vu comme en étant un fantastique où paranormal et impossible s'entremêlent, alors que d'autres préféreront y dénicher une explication rationnelle. Et les deux clans auront raison, puisque le script infiniment bien travaillé laisse justement place à cette dualité entre le réalisme et le fantastique.

Citation :

Youth Without Youth - Francis Ford Coppola 4/5

Malgré les critiques quasi-impitoyables à son sujet, le tout dernier film de Coppola me semble réellement digne d'intérêt par la touche de mysticisme qu'il parvient à apporter dans cette histoire a priori inintéressante. Orchestrée par une main de maître en celle de Francis Ford Coppola, une réalisation superbe qui combine originalité et splendeur est à l'honneur dans ce récit philosophique dans lequel un homme tente tant bien que mal de comprendre la raison de son rajeunissement soudain. D'un esthétisme tantôt féérique, tantôt perturbant, les allégories se succèdent devant un Tim Roth carrément excellent dans le rôle de Dominic, de quoi en faire un film original, sensé sans être lourd, qui se laisse bien absorber.

Citation :

Manufacturing Dissent - Rick Caine/Debbie Melnyk 3.25/5

Un film à la Michael Moore... Sur Michael Moore.

Pas besoin de chercher très loin pour comprendre que ce documentaire soi-disant objectif n'est rien d'autre qu'une cible directement pointée sur la tête de Moore lui-même. Si les réalisateurs se disent éclairés et lucides, ils ne tardent pas à se contredire en bombardant le spectateur d'insultes anti-Moore et de témoignages qui ne tiennent pas la route. Entre autre, la première heure se laisse constituer de ''Michael Moore est un menteur!'', témoignages récoltés dans la rue par des détracteurs qui ne le connaissent pas. Toutefois, la dernière demie-heure, bien que dans la même veine, soulève tout de même des points intéressants et, enfin, fournit quelques preuves à l'appui pour appuyer son propos.

Je respecte grandement le travail de Moore, même si je ne respecte pas toujours les manières qu'il utilise pour y parvenir, mais il est intéressant de voir à quel point la globalité de son oeuvre provoque des conservateurs qui n'hésitent pas à entrer dans le même jeu que lui pour tenter de le discréditer.

Toutefois, c'est sans grand succès... Qu'est-ce qui est le plus populaire? Manufacturing Dissent ou Fahrenheit 9/11?

Citation :

The Color of Money - Martin Scorsese 3.75/5

Ce n'est certes pas réellement un Scorsese auquel on est habitués, mais on reconnaît tout de même quelques lignes directrices qui collent bien au style du réalisateur. Cruise et Newman s'échangent la balle dans ce thriller sportif qui s'avère franchement divertissant et même rafraichissant puisqu'il s'empêche à maintes reprises de tomber dans de gros clichés communs. Rapidement, on prend goût au concept, et on est entraîné dans cette course folle vers l'argent, là où honneur et mérite exigent tout de même leur place.

Les critiques pour Fantasia viendront plus tard.

Hey avant hier j`ai été fort surprise par un film : Charlie Bartlet...

Sérieusement j`ai adorée vraiemnt pas un film PATÉTIQUE!!
jvous le recommende fortement, c`est très loin de nos fameux film d`ado traditionnelle... beaucoup moins d`artifice pis de fioriture...
pas de traditionnelle roi et reine du bal de finnissant...et tout le tralala habituellle làaaa

+10 films, au moins. Dont ceux de Fantasia.

Au lieu de les dire, marque-les donc.

J'l'ai marqué d'même parce que je m'en souviens pu, justement

Citation :

Jan Dara -3.5/5

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Epitaph - 3.5/5

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Adrift in Tokyo - 4/5

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Home Movie - 4.25-4.5/5

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Accuracy of Death - 4/5

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Sabrina - 4/5

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Magnificent Seven - 3.25/5

Citation :

Les Diaboliques - 4.25/5

Et environ 3-4 films avant Fantasia, que j'ai oublié