Bibliothèque à emporter

j'ai lu un cadavre de luxe par Robert Souliere.

jaime pas beaucoup noter les livres, pcq me semble que je donnerais 10/10 à tous !
bon ok, disons un 4.7 sur 5...

l'histoire est bien, jvous passe les détails : c'est un roman policier avec une tite histoire d'amourette cute dedans.

l'affaire c'Est qu'avec Souliere, lire devient un jeu! mais là attention, rien a voir avec les livres dont vous etes le héros la la!

ya plein de jeu de mots et aaahf, faut vraiment le lire!!

moi jai eu cet ouvrage en sec1 et jle relis tres tres souvent depuis

oh! et si j,ai juste mis 4.7, c'Est qu'il est pas assé long!

bonne et joyeuse lecture

Citation :

L'existentialisme est un humanisme - Jean-Paul Sartre 4/5

Wow. C'est peut-être une sorte d'introduction à L'Être et le Néant, mais ça demeure un ouvrage philosophique assez léger qui nous permet de bien cerner la théorie de l'existentialisme. Sartre refuse d'accepter le défaitisme et le détermisme de l'homme en affirmant qu'il n'existe pas et qu'il est du devoir de tout être humain se prouver soi-même, de précéder l'essence par l'existence. Ainsi, finies les lamentations déterministes, l'homme doit se relever les manches et appliquer des valeurs individuelles qui se doivent de refléter les valeurs universelles. L'être humain a le choix de devenir ce qu'il veut.

Citation :

L'enfant de sable - Tahar Ben Jelloun 2/5

Oh mon Dieu. J'ai ouvert ce livre en ayant déjà une overdose d'Orient. Pourtant, les 50 premières pages étaient sacrément intéressantes, relatant l'histoire d'un père désespéré, n'ayant que pour progénitures 7 filles. Comme la tradition maghrébine(!) le stipule: tout homme qui n'a pas de fils perd automatiquement sa fortune lors de sa mort et se doit de la léguer à ses frères. Ainsi, le père et la mère décide que, peu importe le sexe du huitième enfant, il sera un homme et ils l'appelleront Ahmed. Comme de fait, une fille naît, et elle se voit dans l'obligation de conserver ce terrible secret toute sa vie. On suit donc Ahmed dans sa quête d'identité et dans la découverte sexuelle de son corps, ce qui est franchement intéressant au début. Toutefois, l'oeuvre se perd dans la post-modernité, si bien que 6-7 conteurs interviennent dans l'histoire pour dire: ''Non, tu racontes une fausse histoire! Moi, je vais vous dire ce qui s'est passé!'' Finalement, on se perd, rien n'est concret, on finit le livre, on n'a rien compris (on ne peut pas comprendre) et on a lu pour rien.

Citation :

L'adversaire d'Emmanuel Carrère 4/5

Quand quelqu'un qui, soulignons-le, possède une certaine culture littéraire, me propose un bouquin, il y a dans à peu près 800% des cas de fortes chances que j'adore ce qu'il m'a prêté. L'Adversaire ne fait pas exception à la règle... Moi qui, depuis toujours, n'avait lu que des romans de fiction, je n'ai pu dire non à cet oeuvre de Carrère. Bien que la lecture de ce léger livre m'ait pris 5 mois (en fait, c'est trois séances de 70 pages étalées sur ces 5 mois), j'ai adoré la façon dont Carrère rapporte l'évènement que son oeuvre retrace. Il aurait très bien pu nous baigner dans un bassin de sensasionnalisme, de subjectivité, ou au contraire dans l'objectivité journalistique ennuyante. Rien de tout cela. Certes, son oeuvre n'est pas entièrement objective, j'ai eu à plusieurs passages l'impression qu'il "défendait" Jean-Claude Romand, auteur de la plus grande imposture dont j'ai pu entendre parler. Mais la lecture est jouissive, puisque Carrère écrit avec justesse, ses propos sont clairs et pertinents. Et, je comprends très facilement qu'après multiples correspondances, qu'après l'avoir visité en prison, qu'après avoir retracé la vie de Romand, que Carrière ait pu se "lier d'amitié" avec lui, pour la simple et bonne raison que moi aussi, ne connaissant de sa vie que ces 200 pages, j'aie pu apprécier cet homme. Mais ça ne fait pas changer le fait que Jean-Claude Romand est un meurtrier.

Mes prochaines lectures :

La métamorphose, de Franz Kafka;
Noir destin que le mien, de Massoud Al-Rachid;
Le vide, de Patrick Sénécal.

Bon, faut ramener de la vie dans ce topic là!

Citation :

Je vous aime - Catherine Siguret 2.5/5

Ouin, franchement, pas vraiment aimé. Premièrement, moi qui adore les gros livres, j'ai été déçue de ces quelques 140 pages où l'auteure utilise le «je». J'aurais pensé avoir une plus belle histoire, mieux développée car l'auteure nous laisse des fois perplexes. Bon, j'avoue que j'ai un petit faible pour les histoires d'amour mais ce livre, qui raconte l'histoire d'amour d'un homme célèbre et d'une femme ordinaire, l'histoire n'a pas réussi à m'embarquer totalement. Et ça passe vite de lire 140 pages d'un coup.

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Coup de foudre et business plan - Gemma Townley 3/5

Un livre qui passe aussi vite. Les 361 pages se sont lues vite. Et moi qui pensait que je n'allais rien apprendre en le lisant, je me suis bien trompée. L'auteure réussit à nous décrire le travail de représentant commercial et financier avec des mots faciles à comprendre. Par contre, les actions se ressemblent toutes.

Citation :

Sauve-moi comme tu m'aimes - Anique Poitras 5/5

Un seul mot: magique. J'ai vite été transportée dans ce livre. J'ai vite pris la place de l'héroïne, je me suis mise à sa place et j'ai vécu l'histoire jusqu'au bout, jusqu'à même ressentir les émotions qu'avaient Mandoline. Incroyable, peut-être un livre pour adolescents, mais il m'a vraiment suprise. On trouve vite des belles pensées qui viennent nous chercher vraiment loin, qui nous poussent à réfléchir jusqu'à même comprendre parfaitement le sens de chaque mot. Un des plus tristes romans que j'ai lus, et je ne regrette pas de l'avoir lu!

Vive la vie de ce topic!

Je vais bientôt avoir quelques nouvelles lectures aussi...

Citation :

Et si c'était vrai... - Marc Lévy 4.5/5

Un livre particulièrement... étrange et rempli de rebondissements innatendus. J'ai très bien aimé le fait que Lauren soit dans le coma et qu'elle peut juste communiquer avec Arthur, et juste avec lui. Quoique le fait qu'ils ont des rapports qui sont étranges entre un «fantôme» et un humain, sont particulièrement bizarres. On a l'impression de vivre dans cette époque et de comprendre toute l'histoire.

Citation :

Le journal d'Eleanor Druse - Eleanor Druse 3/5

Bizarre, étrange, avec plusieurs mots dont j'ai pris du temps à comprendre la signification, par exemple: psychoacoustique, acouphènes et etc. J'ai eu plusieurs fois des frissons en parcourant ces lignes qui m'ont fascinée dès le début. Et en l'ayant terminé en même pas deux jours, je ne regrette pas de l'avoir lu, même si nous ne savons pas si Eleanor a réussi à résoudre le mystère de la petite fille qui pleure. La fin m'a laissée perplexe.

Lecture en cours: Cellulaire de Stephen King.

Et puis le cellulaire? Ça fait un bout là. Ayant été un grand fan de King, je me suis toujours demandé de quoi son dernier avait l'air...

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Jacques le Fataliste - Denis Diderot 4.7/5

Pour se lancer dans Jacques le Fataliste, il faut sacrément être amoureux de l'histoire de notre littérature. Sincèrement, je ne me suis jamais fait aussi manipuler littérairement parlant que lorsque je me suis prêté à la lecture du plus grand roman (?!!?) de Denis Diderot. Je souligne mon incertitude quant à la définition de roman, tandis qu'on se retrouve avec un mixte de roman, de conte, de thèse philosophique, d'essai, de pièce de théâtre, de disgression, etc. Un mélange d'un peu de tout qui se propose de mettre les points sur les i du fatalisme, cette mentalité qui veut que chacune de nos actions soient prédéterminées par un Dieu suprême.

Diderot se moque bien de nous, et nous manipule littéralement pendant 500 pages en s'amusant bien souvent à stopper l'histoire en cours pour nous parler de d'autres choses d'auteur à lecteur, il nous insinue parfois de faux soupçons pour la suite de l'histoire, il médit sur certains personnages - SES personnages - qui ne le mériteraient peut-être pas, il interromp une histoire intéressante pour nous parler pendant dix pages d'une thèse laborieuse et, avouons-le, parfois plutôt ennuyeuse, qu'il a concocté. Mais Diderot le sait.

Jacques le Fataliste ne comporte qu'un défaut: il ne répond pas à la question du fatalisme. Oui, c'est étrange, mais je ne me suis retrouvé guerre avancé à la fin du roman, tandis qu'on assiste tout simplement à des échanges corsés entre Jacques, adepte du fatalisme, et son maître, qui ne demande qu'à être convaincu.

Une conversation anodine qui se métamorphose en thèse philosophique.

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Le dernier continent - François Avard 2.5/5

Je ne sais pas ce à quoi je m'attendais en achetant un des derniers romans de François Avard, mais certainement pas à ça. J'apprécie beaucoup les chroniques hebdomadaires d'Avard dans Voir; son humour grinçant m'a bien fait rire plus d'une fois, d'autant plus qu'il le combine à un sens de l'intelligence hors-du-commun, contrairement, selon moi, à la télésérie des Bougons.

Je crois que j'espérais secrètement une histoire tragique, réelle, mais saupoudrée subtilement continuellement d'humour noir. Au lieu de ça, on se retrouve avec un roman à la Taschereau (Inspecteur Specteur!) mais en beaucoup moins drôle et en beaucoup moins attrayant. Oh, pour être tragique, ce l'est... Mais de manière surréaliste.

Or, je ne cesse de le répéter, on n'a pas besoin de fuir la réalité pour nous montrer quelque chose de tragique... Au contraire.

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Nul si découvert - Martin Dubé 3.2/5

Il était environ 18h30 quand mon voisin est venu cogner à ma porte pour me présenter Martin Dubé, un professeur de la Polyvalente que je n'avais pas eu la chance de côtoyer lors de mes récentes études secondaires, et qui venait tout juste, de surcroît, de publier un roman intitulé Nul si découvert. Après que ce dernier m'ait dédicacé une copie, je remettais pour plus tard mes lectures littéraires pour me lancer dans une lecture plus rafraîchissante.

Je n'avais absolument aucune attente, et je dois vous avouer que j'ai été assez surpris. Bon, certains passages du développement sont un peu longs, mais on s'attache si facilement au personnage de Serge Trudeau qu'on éprouve simplement du plaisir à passer plus de temps avec lui.

La grande qualité de l'oeuvre, c'est d'être adapté à un vaste public cible. Nul si découvert m'a donné une belle lecture amusante et relaxante, et m'a permis de prendre un peu de temps pour refaire le plein d'énergie. La seule chose, c'est que l'utilisation de nombreux clichés est récurrente mais elle parvient quand même à être efficace à certains endroits.

À certains moments, je trouvais toutefois un peu dommage d'excuser par de simples clichés le reflet d'un capitalisme sauvage, barbare, d'un capitalisme qui n'hésite pas à anéantir l'ambition de l'homme. Ces clichés façonnaient une impression de parodie, et j'ai eu l'impression qu'à la fin du roman, malgré toutes les mésaventures de Trudeau, le capitalisme en est sorti avec de légères écorchures, sans plus.

Néanmoins, quand tout est saupoudré d'écriture imagée et de métaphores vivantes, le temps passe bien vite en la compagnie de Dubé. Par l'entremise de Trudeau, on discute avec Dubé, et c'est quand même bien agréable. Le récit d'un homme qui semble porter la désillusion de toute l'humanité sur ses épaules. Ou plutôt, sur sa plume.

Cellulaire, ah, ce sacré Cellulaire.

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Cellulaire - Stephen King 3.4/5

Ça fait peut-être un petit bout, mais un livre de-même, ça ne s'oublie pas. Sérieusement, je ne l'ai pas trop aimé. Trop de sang, trop de fiction, trop de scènes répétitives.

Mais comparé aux autres livres de King, c'est peut-être un des seuls que j'ai réussi à lire jusqu'au bout avec Cujo et Sac D'os. Il y a moins d'horreur. Mais tout de même, beaucoup, oh! Je ne pourrais jamais arrêter de le dire, beaucoup trop de fiction à mon goût. Les personnes qui s'entretûent tout le temps, c'est presque rendu qu'ils se mangent entre eux.

Citation :

Romeo - Elise Title 4.8/5

Oui, oui. Un des meilleurs livres que je n'ai jamais lu de ma vie.

Que dire? Terminé hier et j'ai trop de frissons rien à qu'y repenser. Incroyable comme livre. Elise Title nous plonge directement dans le contexte. On découvre seulement l'assassin à la fin, avec le punch final.

Sérieusement, durant toute l'histoire, on ne peut pas douter sur l'assassin. Mike Wagner cachait très bien son jeu. Policier, assassin, psychopate. Tellement de rebondissement, trop de suspects à mon goût.

Mais totalement incroyable. L'auteure nous plonge dans les souvenirs de Sarah Rosen et dans ceux de sa soeur, Mélanie Rosen. Incroyable encore. Tellement pas de mot.

Citation :

Crime et châtiment - Fedor Dostoïevski 4.8/5

5e dans mon top.

Comment éviter de tomber amoureux de la plus grande oeuvre que la littérature russe n'ait jamais enfantée? Comment éviter de s'éprendre des déboires de Raskolnikov, cet enfant dans un corps d'homme, cet ange dans un corps de démon? Car c'est là l'essence même de l'oeuvre de Dostoïevski que de confronter l'homme face au vice, de le faire évoluer dans une démarche morale d'où ne découle que le châtiment suprême. À mesure que la lecture progresse, c'est une partie de soi que l'on voit en Raskolnikov et, tout comme lui, on se refuse à l'accepter, on repousse l'idée du revers de la main. Mais il est trop tard; on sait que Dostoïevski a déjà gagné, que la partie est déjà terminée. C'est le remords qui nous hante, qui nous gruge l'entraille de la raison.

Citation :

Le Procès - Franz Kafka 4.8/5

Deuxième lecture.

4e dans mon top.

Suite à ma première lecture de l'oeuvre, je m'en étais retrouvé un peu déçu, conscient que le malaise que je ressentais n'était pas véritablement équivoque à la jouissance ressentie devant La métamorphose. Ainsi, c'est à bras ouvert que j'accueillais l'opportunité de le relire une deuxième fois, en mettant à profit cette fois-ci tout le temps nécessaire pour l'analyser de fond en comple.

Par l'entremise de Joseph K., un personnage arrogant, singulier, un homme pour qui le mystère n'existe pas, Kafka remet en question de grandes valeurs morales de l'homme en le confrontant audacieusement lui-même à une justice impitoyable, inatteignable, une instance suprême régie par des lois immuables, une vraie machine de guerre où chaque subalterne n'a d'autre choix que de devenir un rouage nécessaire à son bon fonctionnement.

C'est donc ainsi dans cette optique d'idée que nous assistons à la chute de Joseph K., chute asservie par une impuissance totale qui le mènera à un atterrissage brutal dans une littérature philosophique où l'impuissance se mêle au désespoir et où la rédemption n'existe pas.

Citation :

Anna braillé ène shot - Georges Dor 3.5/5

40e dans mon top.

Avec Georges Dor, tout est gris. On ne peut pas aimer complètement, et encore moins détester de fond en comble la rigueur des arguments qu'il expose. Certes, difficile de passer sous silence certaines méthodes relativement douteuses, comme le fait de s'appuyer majoritairement sur des éditoriaux et des discours comme sources, et sur d'absurdes contradictions comme le fait d'excuser la contraction I'm de I am aux États-Unis, mais de ne pas excuser T'es de Tu es au Québec. Ou encore sur la supposée non évolution de l'homme sans vocabulaire adéquat, qui se réfute banalement par la découverte du feu de l’homme des cavernes, représentant d'un dialecte abstrait et confus, voire même inexistant.

Bref, si Georges Dor est gris, ce dernier maintient invariablement son point de vue: l'avenir du Québec l'est tout autant.

- Extrait de mon travail sur l'essai

Citation :

Contes et légendes québécoises - Éditions Beauchemin 2.5/5

[...] véritables symboles identitaires québécois, les contes nous rapprochent et nous donnent une raison de regarder vers l'avant tout en n'oubliant pas ce qui fut laissé derrière. Les contes, c'est moche. Surtout qu'au-dessous de 1900, ils étaient tous bâtis sur une même structure uniforme, soit celle de l'histoire de quelqu'un qui raconte une histoire. Bref, le conte écrit basé sur la tradition orale. Jusque là, pourquoi pas?

Mais quand on se retrouve face à des contes qui finissent toujours merveilleusement bien, ce ne sont plus des contes. Ce sont des contes d'enfant. C'est bien beau la Chasse-Gallerie, mais ça ne sert à rien si on a la version d'Honoré Beaugrand, la version où tout le monde s'en sort avec quelques petites égratignures, le sourire aux lèvres. Mais où est donc passée l'ombre de ce diable malveillant, cette empreinte du mal sur notre quotidien?!!?

La Chasse-Gallerie 2.5/5
Le diable au bal 3.75/5
L'étranger 3.5/5
Le loup-garou 1 2/5
Le loup-garou 2 3/5
Le fantôme de l'avare 2/5
Le revenant de Gentilly 2.5/5

Citation :

Les Belles-Soeurs - Michel Tremblay 2.8/5

Déjà éccoeuré par ces maintes lectures de l'oeuvre au Secondaire et par ces millions d'extraits devant moi en Art Dramatique, ce n'était pas avec enthousiasme que je débutais ma lecture des Belles-Soeurs. Sincèrement, rien n'est vraiment intéressant dans l'histoire et on se perd rapidement dans un magma de conversations placotières en fusion.

Mon seul plaisir fut l'analyse sociolinguistique et littéraire de la pièce qui, elle, comporte son lot d'éléments puisque les personnages se livrent tour à tour une lutte de pouvoir symbolique.

N'en retenons qu'une chose:
Comme disait Bourdieu, la langue n'est pas qu'un outil de communication. Elle en est aussi un de domination et de distinction des classes.

2.8/5

Aie aie aie, on va jamais s'en sortir avec vous! Peut-tu me dire elle est où la différence entre un 2.75 et un 2.8! Pfff vous exagéré des fois.

E t'm.

Citation :

Réponds-moi - Susanna Tamaro 4/5

Trois petites histoires dans un même livre, elles ont toutes les trois un sens commun, elles partent du même thème: l'amour & Dieu. Je ne suis pas une personne croyante donc, ce livre m'a quand même fascinée un peu. Un peu rude des fois dans les diverses circonstances, aussi beaucoup de souffrance, de violence, mais tout était bien décrit. Un peu dur des fois à comprendre où l'auteure veut en venir avec les péripéties, mais j'ai arrivé à tenir le fil des trois histoires. Incroyablement superbe!

Update:

Citation :

Un simple soldat - Marcel Dubé 2.9/5

Citation :

Nouvelles de Petersbourg – Nicolas Vassiliévitch Gogol 4/5

25e dans mon top.

Citation :

Maria Chapdelaine - Louis Hémon 1.5/5

Citation :

Le Roi Lear - William Shakespeare 4.1/5

19e dans mon top.

Citation :

Le livre du rire et de l’oubli – Milan Kundera 4.8/5

6e dans mon top.

Citation :

Le Château - Franz Kafka 4.1/5

21e dans mon top.

Citation :

Le tunnel – Ernesto Sabato 4.2/5

14e dans mon top.

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