Cinéma maison - La suite!

Citation :

Halloween - John Carpenter 3.25/5

Citation :

Rachel Getting Married - Jonathan Demme 4.25/5

Ah, la trilogie du Cock-er.

Citation :

Où est la maison de l'ami? - Abbas Kiarostami 4.25/5

Citation :

Et la vie continue... - Abbas Kiarostami 3.5/5

Citation :

Au travers des oliviers - Abbas Kiarostami 4/5

Citation :

Le goût de la cerise - Abbas Kiarostami 4.25/5

Citation :

Goodfellas - Martin Scorsese 4.25/5

Seen 2 times.

Citation :

Lost Highway - David Lynch 4.25/5

Seen 2 times.

Tu dois te sentir seul Frank... J'te promets de t'accompagner quand j'aurai le temps.

Petite question comme ça : c'est qui Alkhir

Une pauvre merde.

Une pauvre merde qui m'appuie sur ce topic, au moins!

Tiens, j'avais le goût de me taper une vraie critique. Ça faisait un bout.

Citation :

Blow Out - Brian DePalma 3.25/5

Citation :

Café Lumière - Hou Hsiao-Hsien 3.25/5

Citation :

Silent Hill - Christophe Gaans 3/5

Citation :

À cinq heures l'après-midi - Samira Makhmalbaf 3.5/5

Citation :

Le cercle - Jafar Panahi 3.5/5

Citation :

The World - Zhang Ke Jia 3.75/5

Citation :

The Conversation - Francis Ford Coppola 3.75/5

Seen 2 times.

Citation :

Saalam Cinema - Mohsen Makhmalbaf 3.75/5

Citation :

Un instant d'innocence - Mohsen Makhmalbaf 4.5/5

Citation :

Le ballon blanc - Jafar Panahi 4.5/5

Citation :

Quantum of Solace - Marc Forster 3.5/5

Ayoye, je saigne du nez.

La zizanie est semée depuis déjà fort longtemps dans la matrice 007. Nul ne saurait nier la disparité et l'iniquité entre les 22 différents volets officiellement reconnus par la ENO. Les couples infiniment variés de scripteurs, de réalisateurs, d'acteurs et, surtout, de producteurs, ont enfantés, sur une échelle de 47 ans, une multitude de proto-Bond qui témoigne assurément d'un univers schyzophrénique incapable d'assurer son maintien dans un tout linéairement homogène.

Casino Royale, c'était l'innovation, le vent de fraîcheur après 4 ans d'absence des écrans internationaux. Quantum of Solace, c'est la tentative a priori ingénieuse d'une innovation encore plus majeure qui se solde par une terrible régression complète de l'opus.

Avancer de reculons, c'est une rupture pénible. Parce qu'abuser du genre, c'est s'attendre à une revanche de sa part. Si Casino Royale se voulait sobre et modeste dans une fidèle approche qui s'affairait à une humanisation progressive du personnage de James Bond, magistralement interprété par un Daniel Craig étant tout sauf Pierce Brosnan, on s'aventurait déjà sur une plate-forme glissante en interrompant le récit en deux actes différents (Casino et Quantum), une première dans l'univers de Bond. Tenter d'assurer un minimum de linéarité dans un univers aussi déjanté, c'est risqué. Aussi risqué que de tricher sur l'horloge du quartier à laquelle tout le monde s'était pourtant si bien habitué depuis 47 longues années.

Pour Forster, le réalisateur de cette suite tant attendue, il était assez aisé de respecter l'espace spatio-temporel auparavant établi dans Casino Royale. Là n'était pas le problème. Du côté idéologique, par contre, c'était écrit dans le ciel que ça fouerrerait, que le contraste entre les deux longs-métrages allait davantage relever d'un tape-à-l'oeil criard plutôt que d'un certain choix esthétiquement viable.

En tout point saturé par des effets spéciaux tonitruants qui engorgent constamment le film et ralentissent son intéressante progression, ainsi qu'étouffé par un budget surdimensionné qui en fait l'opus le plus coûteux de toute la longue série, Quantum of Solace semble chercher à évacuer un trop-plein de frustration typiquement stéréotypé qui n'aurait pas su trouver sa soupape d'évacuation dans un Casino Royale pourtant intelligemment tempéré. Lorsque Paul Haggis lui-même, l'un des scénaristes émérites, qualifie la toute récente performance de Daniel Craig comme interprétant un James Bond ''humain'' qui ''ne prend pas toujours les bonnes décisions'', c'est littéralement avec un doigt dans le cul qu'on tente d'handicaper le raisonnement logique du spectateur.

James Bond n'a jamais autant été si inhumain. L'agent 007 qui avait les yeux miroitants de douloureuses larmes dans Casino Royale n'est plus, remplacé par un automate littéralement mécanisé par une soif de vengeance méthodiquement cliché. On a voulu faire évoluer l'innovatrice faillibilité de James Bond en la mutant en une lacune psychologique irrémédiablement causée par la mort de sa bien-aimée Vesper. Ce qui en a évidemment résulté en un film de près de deux heures où ''le monde ne suffit pas'' pour ce héros en quête de ''justice'', pour offrir au spectateur une machine de guerre ruisselante de sueur, implacable dans sa logique du meurtre, démantelant réseaux criminels par-dessus les maints gouvernements nationaux comme les États-Unis, l'Italie et même l'Angleterre qui tentent vainement de l'empêcher à coups de centaines d'hommes des services secrets, de la SWAT et, pourquoi pas, de l'armée. On se contente de demeurer strictement dans les cadres établis du divertissement dépouillé, on usurpe la popularité méritée du précédent volet et, pire que tout, on se plie de nouveau à une loi définitive de l'offre et de la demande qui, pourtant, n'avait pas été bafouée. Est-ce trop demandant que de vouloir poursuivre la révolution caractérielle amorcée dans Casino Royale? Révolution qui, rappelons-le, en plus de faire preuve de sagacité, satisfaisait avec toujours autant de complétion et d'euphorie le public international...

Persévérer dans cette voie, c'est envisager de nouveau une impasse dans la série, comme dans le début des années 80 ou alors la fin de la décennie 90, là où ce même James Bond ressemblerait très bientôt aux dizaines de Wesley Snipes et de Steven Seagal qui pullulent hebdomadaire le marché hollywoodien de films d'action hyperbudgétaires sans originalité aucune, là où des dizaines de meurtres à la kalashnikov et au lance-grenade, parce qu'exécutés par un héros ''moralement affecté par une terrible injustice du passé'', sont définis par la critique comme étant ''infiniment humains''.

Si Paul Haggis dit vrai et que James Bond commet dorénavant de mauvais choix, sa pire bévue est peut-être celle d'avoir désappris à pleurer.

J'fais pas de super critiques moi...

Ben, c'est hot d'abord comme film, Mye!

Parce que le cinéma, tsé, tu vis ça dans ton salon, avec tes amis, séparé par un ÉCRAN. C'est le comble de la fiction, ça. Pis c'pour ça que les ''puristes'' disent: ''Fuck off le DVD. Le cinéma, c'est tout ce qui compte. Au cinéma, tu ne peux pas arrêter le film, faire pause, répondre au téléphone, t'es obligé de vivre ton expérience cinématographique au complet, pour de vrai.''

Perso, j'suis pas rendu là, j'suis vendu au DVD, et j'suis souvent (malheureusement) obligé de couper mes visionnements en 2 shots. Sauf que faut admettre que c'est vrai pareil.

So, quand un film réussit à te faire réagir de même (''My God, j'veux arrêter ça, ça me rend mal à l'aise''), c'est qu'un film fictionnel est capable de traverser l'écran et d'agir directement sur toi de manière assez forte. Et ça, j'trouve ça hot en sale.

Tiens, tu as pas aimé le liseur ? Pourquoi ? Ça me semblais interessant pourtant...

65%, c'est pas si mal, ça passe.

Non, en fait, c'est bien. C'est juste que je suis saturé à la longue des mélodrames, et que je commence à comprendre que c'est finalement assez facile à faire. J'exagère, mais c'est quasiment Les Feux de l'Amour, mais porté à l'écran avec un budget supérieur qui lui confère une certaine crédibilité. Quelques ingrédients répétitifs de films en films, brassés sous certaines petites variations, et ça donne des centaines de copie conformes...

Mais c'est facile à aimer, j'suis sûr que t'apprécierais. Évidemment, le côté ''historique'' est léger, mais intéressant, parce qu'il ne traite pas nécessairement les nazis comme des monstres (quoique...).

Néanmoins, The Reader, c't'une bonne recette.

Et Kate Winslet pleure bien, on le sait.

The Reader est excellent , mais il est vrai qu'il y a une certaine redondance au niveau du mélodrame. Malgré tout , il m'a quand meme surpris !

Petit recap de la page, dont tout le monde se fout sauf moi.

Citation :

Ringù - Hideo Nakata 4/5

L'original de ''The Ring''. Inspire la crainte et le mystère par le hors-champ, la musique, le clair-obscur... Diffère des films d'horreur cliché contemporains, vaut la peine d'être vu.

Citation :

Doubt - John Patrick Shanley 4/5

Victime d'être, à la base, une adaptation théâtrale, Doubt est sacrément statique et souffre d'une mise en scène souvent déficiente. Néanmoins, les dialogues sont jouissifs quant au rôle moderne de la foi, et les confrontations entre Seymour Hoffman et Streep me font mouiller...

Citation :

The Reader - Stephen Daldry 3.25/5

Du mélodrame, comme toujours. Néanmoins, c'est une recette gagnante, et Kate Winslet a tout ce qu'il faut pour brailler comme une madeleine. Il me semble toutefois que, malgré l'attrait historique, le scénario et les dialogues sont souvent inintéressants.

Citation :

Milk - Gus Van Sant 3.75/5

Un des maîtres du cinéma américain qui poursuit son oeuvre avec une grande oeuvre biographique. Accessible pour tous publics, avec une belle performante de Penn. Pas grand chose de plus à dire.

Citation :

Synecdoche, New York - Charlie Kaufman 4.25/5

Probablement le film que je connais qui représente le plus le côté pessimiste de l'existence. Brillamment écrit dans un exercice de style emmêlant, Synecdoche fait le point sur nos propres vies et nous amène à comprendre que, bien souvent, nos vies d'artistes ne sont que des vies de ratés.

Citation :

Haïssable - Mike Ward

Show d'humour qui, évidemment, sort un peu des sentiers battus, du bon humour noir qui se laisse bien apprécier sans gant blancs.

Citation :

Yes Man - Peyton Reed 3.5/5

Avant d'être un film, c'est une philosophie de vie. Si le long-métrage a évidemment ses lacunes, c'est avant tout un bon vieux Jim Carrey qui nous offre des scènes complètement tordantes, en plus d'un scénario qui, pour une fois, DONNE VRAIMENT À RÉFLÉCHIR.

Citation :

La Graine et le Mulet - Abdel Kechiche 3.75/5

Kechiche est un peintre. Dans chacun de ses films, un portrait. Un pays, ses habitants, sa réalité, ses maladresses... Quelque chose d'un peu gauche, parfois, mais toujours captivant au bout du compte. Une longue muraille peinte qui vaut la peine d'être dégustée de l'iris.

Citation :

Devil Wears Prada - David Frankel 3.75/5

Frank bave devant Anne Hathaway.

Citation :

Un capitalisme sentimental - Olivier Asselin 4.75/5

Oh my fucking god.

Assurément dans mon top 3 à vie de films québécois. Une réalisation riche, des plans à couper le souffle, un scénario beaucoup trop intelligent, des variations qui nous font rêver... Un film inépuisable en ressource, dépositaire des ambitions déchues de l'humanité...

Citation :

X-Men Origins: Wolverine - Gavin Hood 2.5/5

J'm'ennuie des anciens X-Men. Scénario confus et sans grand intérêt.

Citation :

Terminator - James Cameron 3.75/5

Même si les effets spéciaux ont mal vieilli, ça reste un des films les plus formidables sur la ''machine'', encore plus que les films récents comme Transformers.

Citation :

Terminator 2: Judgment Day - James Cameron 4/5

What the fuck?! J'ai pleuré dans ce film. [...] Tuez-moi, svp.

Citation :

Monsters, Inc. - Pete Docter & David Silverman & Lee Unkrich 4.25/5

Seen 3 times.

Un des meilleurs dessin-animés de l'histoire du cinéma.

Citation :

Tropic Thunder - Ben Stiller 3.5/5

Inégal par moments, notamment par la faute de Jack Black et tout ce qu'il représente (cabotinage, enfantillage, etc.), mais vraiment une excellente ''comédie'' qui est devenue l'un de mes coups de coeur cette année.

Citation :

Devil Wears Prada - David Frankel 3.75/5

Frank bave devant Anne Hathaway.

Pendant que moi je bave et que je fais une symphonie de ronflement juste à coté...

Citation :

Saw V - David Hackl 3/5

Not that bad. Par contre, vouloir réaliser une quintologie narrative avec plus de 5 volets, ça relève presque du suicide. On voudrait ré-inciter les gens à tout revisionner l'ensemble de Saw, un beau coup de marketing qui pollue les écoutes des films. Néanmoins, ce volet est tout de même construit adéquatement. Le 6e approche... À quand le 22e?

Citation :

W. - Oliver Stone 3.5/5

Faut assurément être minimalement intéressé par la politique. Beaucoup de références non-expliquées dans le film, qu'il faut du moins connaître pour être en mesure de comprendre le propos. C'est un récit fortement intéressant, quoique la linéarité morcelée ajoute à la confusion du personnage, et que la fameuse question de la vérité objective demeure un véritable point d'interrogation, et ce, même après l'écoute...

Citation :

The Tale of Despereaux - Sam Fell & Robert Stevenhagen 3.75/5

What the fuck. Aucune idée pourquoi ça n'a pas été nominé aux Oscars. Aucune idée pourquoi est-ce que les critiques ont tant démolis ce dessin-animé audacieux. Aucune idée pourquoi ça a tant passé sous silence.

Bon, okay, ça use le même thème que Ratatouille. Mais on s'en contre-balance, du moment que les idées sont sacrément ingénieuses, que les images sont absolument superbes et que Despereaux nous transporte dans son récit magique avec une désinvolture fascinante.

Citation :

Martyrs - Pascal Laugier 3.75/5

Martyrs, ou comment réaliser un torture porn qui ne soit pas complètement gratuit. Ingéneux, quand même. Si, dans les pires moments de torture, la caméra décide de se contenter du hors-champ visuel et accoustique, il en va de même pour la finale qui tente de relancer à nouveau les limites de la mortalité et de ce qui suit dans l'au-delà. Néanmoins, les deux parties du film sont vraiment distinctes, et la liaison entre les deux est, je crois, déficiente.

Citation :

Alien - Ridley Scott 3.5/5

Éclairage fucking incroyable, ouais. Mais vraiment pas mon genre. Néanmoins, ça demeure assurément le meilleur de toute la quadrilogie. Fuck off les aliens.

Citation :

Aliens - James Cameron 3.25/5

Un autre récit épique à la James Cameron, avec des idées intéressantes, mais qui se perd en longueur dans des tentatives de suspenses inintéressantes. Le plus long des Aliens, qui aurait pu être diminué de beaucoup.

Citation :

Alien 3 - David Fincher 2.5/5

Encore là, on reconnaît le style de Fincher, quoique l'exercice de son propre style ne se prête pas aisément à l'univers des Aliens. L'élément déclencheur surgit que le générique d'ouverture ne s'est même pas encore terminé, on tombe dans une overdose d'action là où l'Alien est infiniment plus intelligent que ses précecesseurs ne l'avaient décidés, pleins d'éléments disparates qui font en sorte que le film ne parvient pas à accrocher le spectateur.

Citation :

Alien: Resurrection - Jean-Pierre Jeunet 3.25/5

Même si la série des Aliens est loin d'être favorite, ce qu'on peut lui concéder de fascinant, c'est que le style des 4 réalisateurs est aisément percevable dans chacun des films. Cette fois-ci, on reconnaît une tentative d'esthétique à la Jeunet, avec des plans et des mouvements de caméra superbe, en plus d'un traitement des couleurs particulier, ce qui confère au film une ambiance beaucoup mieux traitée que dans les films précédents. Par contre, le scénario est carrément ridicule.

... Ce sont pas des documentaires?

Commentaires updatés sur les films un peu plus haut.

Ça... C'est 2 films f*cking perturbants.

Citation :

Petit Pow Pow Noël - Robert Morin 4/5

Citation :

Happiness - Todd Solondz 4.25/5

Happiness, le film le plus troublant que j'ai vu de ma vie. Chef d'oeuvre.

You want me to show you?

Citation :

31e édition du Cocktail de films du Cégep

Vraiment nice comme soirée.
L'ensemble des 4 fictions étaient d'une qualité remarquable.
Les documentaires étaient un peu plus faibles par contre...

Documentaires, en ordre de préférence
En Onde - Simon Therrien 4/5
Version sous-titrée - Olivier Despatis 3.5/5
Vulnérables - Véronique Renaud 3.5/5
Au rythme des hommes - Guillaume De La Sablonière 2.75/5
En selle sur ta vie - Isabelle St-Cyr 2.5/5
Wawea/Le cercle - Jonathan Théroux 2/5

Fictions, en ordre de préférence
L.G. - Jordan Poirier 4.5/5
Le destin de chacun - Stéphanie Dubuc 4/5
Janvier - Guillaume Labelle 3.75/5
Un papa dans les étoiles - Laurence-Isabel Laverdière 3.5/5

Et les deux minutes eux

Marie réinventée aurait dû gagner.

C'est vrai que Marie était une bonne vidéo.

Pour L.G., le nom m'intrique. Ça parlait de quoi ? Ça valait bien un 4.5 ?