Cinéma maison - La suite!

S'tu bon au moin ?

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Les Triplettes de Belleville - Sylvain Chomet 4/5

Après la première moitié, on est véritablement en droit de s'attendre à un dessin-animé révolutionnaire qui fait de l'absurde et du silence les deux moteurs d'une entreprise burlesquement charmante. Par contre, le surplus d'action, prévisible sans être cliché, finit par prendre le dessus sur la couleur excessivement agréable des personnages. Il s'agit assurément d'un des meilleurs dessin-animés que j'ai vu; son originalité le démarque grandement des autres du genre.

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Cruising Bar - Robert Ménard 3.25/5

Concept intéressant, quoique largement répétitif. Même si l'humour a su me faire sourire à quelques reprises, c'est bel et bien le jeu d'acteur de Michel Côté qui m'épate littéralement dans ce film. Ça demeure effectivement très léger, mais c'est hallucinant de voir à quel point Côté est capable de personnifier les 4 différents personnages avec une unicité qui lui est pourtant propre. À mon avis, ça ne fait que confirmer qu'il est le meilleur acteur québécois au pays, heh.

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Ghostbuster - Ivan Reitman 3/5

Ouan. Faut le voir quand on est jeune, j'imagine, et pas à 18 ans.

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Do You Remember Dolly Bell? - Emir Kusturica 4.25/5

Il n'y a pas que Midas qui savait changer le bois en or; Emir Kusturica en fait également partie.

En partant du prémice de base que Do You Remember Dolly Bell? nous expose encore une fois à une histoire typiquement traditionnelle, soit celle du jeune homme manipulé par la liberté qui se laisse sexuellement éduquer par une femme un peu plus expérimentée que lui, il faut véritablement admettre que Kusturica possède un don hors-du-commun. Car même si le scénario semble, a priori, n'être qu'un cliché, il ne faut que quelques minutes pour réaliser que Kusturica lui donne une saveur qui lui soit complètement propre.

L'efflorescence sensuelle qui en émerge se laisse conjuguer par l'intervention d'une musique divinement composée par Zoran Simjanovic et par une mise en scène digne des plus grands films de Kusturica. La relation entre le fils et le père ajoute également un intérêt grandissant au fur et à mesure que le jeune Dino (Slavko Stimac qui allait jouer 23 ans plus tard le héros principal de Life is a miracle) se laisse percuter de plein fouet par la réalité ambiante de Sarajevo et par l'ombre communiste qui y plane au-dessus.

À peine terminé que l'on souhaite déjà le réécouter à nouveau, enjolivé par cette touche mystique qui entoure encore une fois la réalisation d'un des grands hommes du cinéma contemporain.

Le réalisateur serbe redéfinit à merveille l'esthétique cinématographique, et c'est encore peu dire à mon avis.

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Satellites & Meteorites - Rick Larkin 3.75-4/5

Visionné dans le Cadre du Festival des Films du Monde.

Daniel, un romancier dans la mi-trentaine à l'imagination débordante, rencontre par hasard Lucinda, une jolie Américaine excentrique spécialiste en satellites. Ils entament timidement une histoire d'amour. D'étranges événements se produisent comme la pire pluie de météores de l'histoire qui illumine la nuit et détruit une grande partie du réseau mondial de satellites. Leur vie semble merveilleuse mais la réalité n'est pas aussi simple. En vérité, ils ne se sont jamais rencontrés. Ils se sont retrouvés dans le même hôpital après avoir eu un accident de voiture et sont tous deux plongés dans un sommeil profond. Tandis que les médecins sont près de réussir à les sortir du coma, leur monde de rêve est ébranlé par des changements inquiétants. Ils devront se battre pour continuer de vivre leur amour.

Le script parle de lui-même. Si, dès le départ, on peut déjà affirmer que le film irlandais Satellites & Meteorites est un alliage bien conçu de Michel Gondry et de Stay, on ne peut pas dire que ce manque d'originalité empêche l'écoute du film d'être agréable, bien au contraire. Même que c'est carrément rafraîchissant d'avoir la chance de visionner un long-métrage de ce genre sur grand écran. L'idée est venue à Rick Larkin, qui nous a d'ailleurs adressé quelques mots avant la projection du film, tandis qu'une météorite s'est échouée dans son jardin. S'en est alors ensuivie un script intensément romantique qui allait nous fournir quelques scènes carrément inoubliables qui sont dignes des plus grandes comédies romantiques.

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Travellers and Magicians - Khyentse Norbu - 4/5

L'homme de ma vie et moi sommes abonnés depuis près de deux semaines à un nouveau club vidéo à Montréal, la Boite Video. Ce club vidéo dédie la plupart de ces archives au cinéma étranger. Or, curieuse que je suis la semaine dernière j'avais spotée un film "Travellers and magicians" la seule chose que je connaissais de ce film était ce qui était écrit sur la boîte: un film du Bhoutan. Et là j'imagine même qu'il y a des gens qui se demande où se situe le Bhoutan et bien oui, même les régions les plus enfoncées (ou élevées dans ce cas-ci) on leur propre cinéma. Distribué mondialement (à petite échelle bien sûr), ce film est le premier film du Bhoutan, écrit au Bhoutan, ayant des acteurs du Bhoutan et parlant leur langue le Dzongkha.

Je ne m'attendais à rien à ce film, puisque je me suis dis que les moyens pour produire un film devait être assez minimaliste. Vous savez quoi? J'ai $*/* adorée! J'adoooore tellement découvrir des choses de ce genre, j'adooore tellement le cinéma étranger! Enfin, ce film est l'histoire raconte l'histoire de la beauté des événements temporaires de la vie; des détails que vous auriez pu ne pas voir si vous n'aviez pas fait attention aux signes de la vie. C'est combien la vie peut être douce comme un fleuve tranquille. Le réalisateur est un lama bouddhiste, sa sérénité et sa compréhension de son univers est incroyable. En plus d'avoir le droit à des paysages Himalayen incroyable et unique, ce film est une première pour un peuple souvent oublié.

J'ai été séduite par ces acteurs et cette fable bouddhiste, merci Norbu.

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La Haine - Mathieu Kassovitz – 4.75/5

Ce film social et politique m’étonnera toujours. Bien qu’il y en a plusieurs qui se disent que le cinéma n’est qu’un art de divertissement et qu’il ne peut rien changer aux difficultés dans le monde, je ne suis pas d’accord. Bien que le cinéma n’est pas un acteur social tel qu’un politicien ou bien un coordonateur aux communications pour la mairie, je pense bien que le cinéma est un voile ondulant parmi les ombres de nos corps. Inconsciemment, et même consciemment, le cinéma dévoile des valeurs, des tragédies, observation d’un société… le cinéma n’est pas qu’un objet de divertissement, je crois que son but est plus large et fondamental que cela. Et c’est ce genre de film qui réveil la conscience du monde. C’est ce genre de démarche cinématographique que j’appuie. Malgré ma légère tristesse à savoir que le réalisateur a tourné dos à cet intérêt et réalise maintenant de grand blockbuster américain, il ne faut pas oublier l’existence de ce genre de film. Il faut comprendre la problématique de l’immigration et de l’intégration des immigrants en France, pour comprendre ce film. Parce que cette problématique est loin de nous, ici au Québec ce sont les vagabonds qui sont notre problème, eux… c’est le développement trop rapide des Cités.

Ayant gagné plusieurs prix et ayant provoqué de la bisbille au sein des policiers de tout le pays, ce film ce base sur un fait réel, mais un fait qu’il ne faut pas oublier. Mathieu a décidé que son film serait réel et il réussit parfaitement. Sa mise en scène et ses mouvements de caméras sont délectables, franchement pour un deuxième long métrage ce gars m’a incroyablement surprise.

Voilà, ce film est à voir, c’est tout.

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Les uns et les autres - Claude Lelouch 4.25-4.5/5

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Omocha - Kinji Fukasaku 3.75/5

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Roma - Federico Fellini 4/5

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The Counterfeiters - Stefan Ruzowitzky 4.25/5

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My Blueberry Nights - Wong Kar-Wai 3.75/5

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Requiem pour un beau sans-coeur - Robert Morin 4-4.25/5

Okay Frank, tu me croiras pas mais j'avais écrit un paragraphe complet sur le film. Pis quand j'ai sendé, ça m'a renvoyé à la fenêtre de connexion et j'ai perdu mon message. C'est vraiment d'la merde, esti. J'réécrirai peut-être de quoi demain ou cette semaine. Le forum est vraiment désagréable.

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Ce qu'il faut pour vivre - Benoît Pilon 3.5/5

Pas autant que toi...

Ça c'est vraiment désagréable là Marc... Je joue pu.

J'imagine que tu verras ce message demain, car à cette heure-ci, tu dois être déjà couché pour être en forme demain matin...

Ouin... c'est ça...

Mautadine, deux très gros films.

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City Lights - Charles Chaplin 4.5/5

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Le Bal - Ettore Scola 4.5/5

Gosh, à partir de la page 50 environ, jusqu'à 73, j'ai entré tous les films ratés sur Flixster. J'pense que ça a pris 1h30

Le pire c'est que ça a même pas tout marcher parce que j'appuyais pas sur 'Done'... Cibouère.

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Okraĩna - Boris Barnet 3.5-3.75/5

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Chungking Express - Wong Kar Wai 4.25-4.5/5

He Zhiwu, Cop 223: We're all unlucky in love sometimes. When I am, I go jogging. The body loses water when you jog, so you have none left for tears.

De la belle simplicité. Le réalisateur part du canevas très simple de l'homme largué par une femme et, par le biais de deux histoires bien différentes, nous envoûte et nous entraîne dans ce tourbillon de la recherche amoureuse. Par sa mise en scène marginale et complètement maîtrisée, par ses plans caméra-épaule ainsi que son montage unique, Wong Kar Wai fait de Chungking Express un oeuvre complètement magique et au combien poétique (notamment au niveau des dialogues).

Avec ce film, Wong Kar Wai arrive à me faire oublier 2046, l'échec.

[to a bar of soap]
Cop663: You've lost a lot of weight, you know. You used to be so chubby. Have more confidence in yourself.
[to a threadbare wet dishcloth]
Cop663: You have to stop crying, you know. Where's your strength and absorbency? You're so shabby these days.

Wong Kar Wai est un grand cinéaste.

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Scarface - Howard Hawks 4.25/5

Tourné à l'aube d'une période marquée par le code Hays, et dont la sorti a été ponctuée de plusieurs refus de la part des censeurs américains, le Scarface d'Howard Hawks était justement le type de film visés par la censure et dont plusieurs scènes ont dû être remodelées - la fin par exemple. Howard Hawks a réussi à assurer une grande qualité cinématographique sans pour autant montrer les meurtres à l'écran. Prenons l'exemple d'une scène dans laquelle Tony Camonte, interprété par Paul Muni, se rend dans une salle de bowling pour tuer un gangster. Nous entendons le coup de feu, mais le corps abattu du gangster est substitué par sa boule qui fait un abat. En quelques sortes, la censure a donc certains côtés favorables et Hawks, en grand réalisateur, sait pertinemment comment en prendre avantage.

Paul Muni livre une performance vivante et comique, qui aurait pu lui valloir une nomination à la statuette dorée, lui qui la gagnera en 1935 et qui recevra six nominations tout au long de sa carrière. Il est tout simplement génial dans son incarnation de Antonio 'Tony' Camonte, grandement basé sur la vie d'Al Capone. Il est d'ailleurs cocasse d'apprendre que lors de l'écriture du scénario, Ben Hecht a reçu la visite d'hommes de Capone l'avertissant de ce qu'il allait mettre dans son scénario. Hecht, opportuniste qui n'avait pas froid aux yeux, a même réussi à convaincre les hommes de Capone de devenir consultants pour le film!

Oui, je retourne ton appel.

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The Insider - Michael Mann 3/5

Citation :

Pixar Shorts 3.75/5

The Adventures of André and Wally B. 2/5
Luxo Jr. 4/5
Red's Dream 3/5
Tin Toy 3.5/5
Knick Knack 4.25/5
Geri's Game 4.25/5
For the Birds 4.25/5
Mike's New Car 1.5/5
Boundin' 3.75/5
Jack-Jack Attack 3.75/5
One Man Band 4.75/5
Mater and the Ghostlight 2.75/5
Lifted 4/5

Citation :

Signs - M. Night Shamalyan 3.5/5

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Alien - Ridley Scott 3.5/5

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Burn After Reading - Coen Brothers 3.5/5

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La Chute de la Maison Usher - Jean Epstein 3.5/5

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Kiki's Delivery Service - Hayao Miyazaki 3.5/5

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Das Cabinet des Dr. Caligari - Robert Wiene 3.5/5

Seen 2 times.

Citation :

The Musketeers of Pig Alley - David W. Griffith 3.75/5

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The Great Train Robbery - Edwin S.Porter 3.75/5

Seen 2 times.

Citation :

The Castle of Cagliostro - Hayao Miyazaki 3.75/5

Citation :

Heroes - Saison 2 - Tim Kring 3.75/5

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Night of the Living Dead - George A. Romero 3.75/5

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Get Smart - Peter Segal 3.75/5

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The Big Sleep - Howard Waks 3.75/5

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The Isle - Ki-Duk Kim 3.75/5

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Le voyage dans la lune - Georges Méliès 4/5

Seen 2 times.

Citation :

Where in the World Is Osama Bin Laden? - Morgan Spurlock 3.5/5

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Intolerance: Love's Struggle Throughout the Ages - David Wark Griffith 3.75/5

Citation :

La Règle du Jeu - Jean Renoir 3.75/5

Citation :

Week-End - Jean-Luc Godard 3.75/5

Citation :

Short Cuts - Robert Altman 3.75/5

Citation :

Le charme discret de la bourgeoisie - Luis Bunuel 3.75/5

Vu dans le Cadre de la 1ere Édition du Cinémathon de l'Appart de Frank et Jess.

Citation :

M - Fritz Lang 4/5

Citation :

Dawn of the Dead - George A. Romero 4/5

Citation :

Scarface - Howard Hawks 4/5

Citation :

Le jour se lève - Marcel Carné 4/5

Citation :

Umberto D - Vittorio De Sica 4/5

Citation :

Stagecoach - John Ford 4-4.25/5

Citation :

High Noon - Fred Zinnerman 4.25/5

Citation :

Spoorloos - George Sluizer 4/5

Vu dans le Cadre de la 1ere Édition du Cinémathon de l'Appart de Frank et Jess.

Citation :

The Sixth Sense - M. Night Shyamalan 4.25/5

Citation :

The Village - M. Night Shyamalan 4.25/5

Citation :

The Counterfeiters - Stefan Ruzowitzky 4.25/5

Citation :

Roma, città aperta - Roberto Rossellini 4.25/5

Citation :

Man with the Movie Camera - Dziga ''Kaufman'' Vertov 4/5

Citation :

Stachka - Sergei M. Eisenstein 4.25/5

Citation :

Memories of Murder - Joon-ho Bong 4-4.25/5

Vu dans le Cadre de la 1ere Édition du Cinémathon de l'Appart de Frank et Jess.

Citation :

La Battaglia di Algeri - Gillo Pontecorvo 4.25/5

Vu dans le Cadre de la 1ere Édition du Cinémathon de l'Appart de Frank et Jess.

Citation :

Scarface - Brian DePalma 4.5/5

Seen 2 times.

Citation :

Gilda - Charles Vidor 4.5/5

Citation :

When Father Was Away on Business - Emir Kusturica 3.75/5

Citation :

Time of the Gypsies - Emir Kusturica 4.25/5

Citation :

Metropolis - Fritz Lang 4.5/5

Wow...

Citation :

The Prestige - Christopher Nolan 4.75/5

Seen 2 times.

Citation :

Black Cat White Cat - Emir Kusturica 5/5

Seen 2 times.

Vu dans le Cadre de la 1ere Édition du Cinémathon de l'Appart de Frank et Jess.

Est-ce que Frank va traîner ce retard toute la session? Hihi.

Est-ce que Mate va traîner ce retard toute la vie?

J'ai pas de retard

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Le Banquet - Sébastien Rose 2.25/5

Le parfait mélange de bon et de mauvais, d'haut et de bas, de réussites et de ratés... Mais évidemment, je n'en retient pour la plupart que le mauvais. Mauvais acteurs (à l'exception de Frédéric Pierre, Alexis Martin et l'éternel Yves Jacques).
Sébastien Rose m'avait habitué à un cinéma plutôt divertissant, mais Le Banquet possède un scénario déficient, voire juvénile. Fait bien surprenant venant d'un gars qui a signé un scénario aussi mature que Comment ma mère accoucha de moi durant sa ménopause.
Je me suis même demandé comment un tel film a-t-il pu trouver autant de financement auprès des organismes québécois.
À oublier dans mon cas.

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Death Note - Shusuke Taneko 4/5

Ce film dégage beaucoup de bonnes choses, et ce à ma grande surprise puisque je croyais que je me serais perdu à cause de mon manque de connaissance de l'anime et du manga éponyme. Bref, l'oeuvre a des airs de film culte (et j'ai bien hâte de voir le deuxième volet).

Citation :

Soy Cuba - Mikhail Kalatozov 5/5

Possiblement mon nouveau film favori.

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Soy Cuba - Mikhail Kalatozov 5/5

Quel film! Un des plus grands films jamais fait.

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Ivan the terrible, part I - Sergei Eisenstein 4/5

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Ivan the terrible, part II - Sergei Eisenstein 4/5

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Escaflowne volume I 3.5/5

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Escaflowne volume II 4/5

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Au hasard, Balthazar - Robert Bresson 3.75/5

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Escaflowne 4.25/5

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Ruins - Carter Smith 3.75/5

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Fireworks - Takeshi Kitano 4-4.25/5
Oeuvre maîtrisée à la perfection par un artiste (et non cinéaste) accompli.

Et sûrement d'autres...

(EDIT)

Citation :

Vicky Cristina Barcelona - Woody Allen 3.75/5

J'savais qu'il y en manquait.